Titre : Cold Fish (Tsumetai nettaigyo)
Réalisé par : Sion Sono
Avec : Mitsuru Fukikoshi, Denden, Asuka Kurosawa
Long-métrage : japonais
Genre : drame, humour noir, thriller
Durée : 02h25 min
Année de production : 2009
Résumé : C'est l'histoire d'une homme sans histoire nommé Shamoto qui travaille dans sa propre boutique de poissons tropicaux, et qui vit avec sa fille ainsi que sa seconde épouse, ces dernières ne s'entendent pas entre-elles. Un jour, la fille de Shamato, qui se nomme Mitsuko va être prise en flagrant délit de vol dans un supermarché, et va par la même occasion faire la connaissance d'un certain Mr.Murata, ce dernier exherce curieusement la même profession que le père de Mitsuko mais à grande échelle. Du jour, au lendemain, ce monsieur Murata, qui est très vite considéré comme le sauveur de la famille, va avoir une influence croissante sur celle-ci. De manière de plus en plus inquiétante, Mr.Murata va se faire de plus en plus présent dans la vie familliale de Shamoto, cet intêret soudain pour cette petite famille cache en fait le début d'une affreuse histoire...
Quelques mots : Certains critiques n'aiment pas, d'autres le trouvent simplement trop long, personnellement ce long métrage du réal (ce dernier m'avait déjà assez surprit avec son film assez décallé dans le genre, le nommé : Love Exposure) m'a encore une nouvelle fois surprit avec Cold Fish et a réussi à me tenir en haleine du début jusque la fin.
Sous une ambiance de comédie noir, ce film est doté d'une réalision rythmée et haute en couleur, d'une partie final qui monte selon moi en puissance dans l'echelle du sanglant, arrive à divertir le spectateur sans relâche mais de manière pourtant assez malsaine.
Si je devrais lui reproché quelques trucs, ça serait peut être son scénario un peu surréaliste sur les bords, et quelques longeurs par çi par là, mais sinon je le recommande, car pour moi c'est peut être même ce que ce réal* a fait de mieux pour le moment, et bon ce Cold Fish a quand même un petit côté exotique, qui vaut la peine d'être mis en bouche pour voir quel goût il a :)
*En note perso sur le réal, c'est difficile à décrire, mais je trouve les films de Sion Sono autant inventifs qu'excessifs mais dans le bon sens du terme. Ce réal nous prend à chaque fois une toile de fond illustrant une cellule familiale complétement en crise ou déstructurée, et avec cette dernière, il fait exploser les tabous nippons à l'intérieur de ces long-métrages, bref c'est ce qui fait de lui selon moi un réal jap assez intéressant, et qu'on doit continer à garder à l'oeil pour les années qui suivront.
samedi 26 novembre 2011
The Robbers
Titre : The Robbers (Wo de tangchao xiongdi)
Réalisé par : Shu-peng Yang
Avec : Jun Hu, Wu Jiang, Lichun Lee, Xiao Wang
Long-métrage : chinois
Genre : action, comédie, drame
Durée : 01h28 min
Année de production : 2009
Résumé : Nous sommes sous l'emprise de la dynastie Tang, et l'histoire raconte le périple de deux voleurs qui débarquent dans un petit village isolé, ces derniers se fesant passer pour de simple chasseurs afin de voler plus facilement leur futur butin. Mais au même moment, des soldats vont débarquer également dans ce petit village et deux d'entre eux tentent de violer une jeune paysanne. Ne pouvant pas en supporter d'avantage, les deux amis voleurs décident de sauver la jeune fille...et c'est ainsi que leur ennuis vont débuter...
Quelques mots : Film assez méconnu, découlant d'une petite production made in chinese, ce petit film qui au premier abord peut parraître assez "simpliste" m'a au final assez convaincu. Une petite histoire qui tient la route, des acteurs plutôt charismatiques et assez convaincants dans leur rôles respectifs, une ambiance sympathique qui marche assez bien grâce notamment à une touche d'humour assez bien amenée et dosée tout le long du film. Bref, the Robbers malgré le fait qu'il soit si peu connu par le public, a quand même pour lui selon moi, un petit côté sympathoche, qui devrait réussir à vous faire passer un bon p'tit moment de divertissement sans prise de tête devant votre écran, ni plus ni moins.
Réalisé par : Shu-peng Yang
Avec : Jun Hu, Wu Jiang, Lichun Lee, Xiao Wang
Long-métrage : chinois
Genre : action, comédie, drame
Durée : 01h28 min
Année de production : 2009
Résumé : Nous sommes sous l'emprise de la dynastie Tang, et l'histoire raconte le périple de deux voleurs qui débarquent dans un petit village isolé, ces derniers se fesant passer pour de simple chasseurs afin de voler plus facilement leur futur butin. Mais au même moment, des soldats vont débarquer également dans ce petit village et deux d'entre eux tentent de violer une jeune paysanne. Ne pouvant pas en supporter d'avantage, les deux amis voleurs décident de sauver la jeune fille...et c'est ainsi que leur ennuis vont débuter...
Quelques mots : Film assez méconnu, découlant d'une petite production made in chinese, ce petit film qui au premier abord peut parraître assez "simpliste" m'a au final assez convaincu. Une petite histoire qui tient la route, des acteurs plutôt charismatiques et assez convaincants dans leur rôles respectifs, une ambiance sympathique qui marche assez bien grâce notamment à une touche d'humour assez bien amenée et dosée tout le long du film. Bref, the Robbers malgré le fait qu'il soit si peu connu par le public, a quand même pour lui selon moi, un petit côté sympathoche, qui devrait réussir à vous faire passer un bon p'tit moment de divertissement sans prise de tête devant votre écran, ni plus ni moins.
mardi 25 octobre 2011
Shura (Demons,Pandemonium)
Titre : Shura (Pandemonium, Demons,Shura, 修羅)
Réalisé par : Toshio Matsumoto
Avec : Katsuo Nakamura, Juro Kara, Yasuko Sanjo
Long-métrage : japonais
Genre : chambara
Durée : 02h13 min
Année de production : 1971
Résumé : Gengobei, pauvre rônin passant ses nuits à boire et à jouer, va tomber amoureux d'une geisha réputée du nom de Koman. Ce dernier va être améné à devoir choisir entre ses sentiments et son devoir de samouräis pour lui permettre de retrouver son honneur perdu. Mais tout n'est pas si simple, surtout quand Gengobei va découvrir qu'il est entrain de faire fasse à un complot organisé...
Quelques mots : Très bon film. J'aime tomber de temps en temps sur ce genre de chambara (à noter que Shura n'est pas véritablement un chambara proprement parlé, j'entend par là qu'il ne faut pas s’attendre à voir des combats épiques entre des hommes perdus, mais ce long métrage en garde néanmoins la même époque, le même contexte, et la même ambiance) que je n'ai jamais eu l'occasion de voir, et d'en apprécier sa qualité cinématographique du début jusque la fin. Si je devrais lui donner un petit défaut ce serait néanmoins de : passer quelques scènes au ralenti en boucle (il en a pas beaucoup) mais bon les quelques scènes filmées en mode "coup de pied retourné des films de jean claude vandamme" m'ont un peu agaçées. Mise à part celà, on a droit à du lourd, une bonne ambiance, une bonne histoire, un très bon acteur, des scènes assez réalistes pour l'époque. Bref, je le conseil vivement pour les fans de films en noir et blanc d'époque, car selon moi, celui çi peut très bien faire partie d'un top 5 du genre.
Réalisé par : Toshio Matsumoto
Avec : Katsuo Nakamura, Juro Kara, Yasuko Sanjo
Long-métrage : japonais
Genre : chambara
Durée : 02h13 min
Année de production : 1971
Résumé : Gengobei, pauvre rônin passant ses nuits à boire et à jouer, va tomber amoureux d'une geisha réputée du nom de Koman. Ce dernier va être améné à devoir choisir entre ses sentiments et son devoir de samouräis pour lui permettre de retrouver son honneur perdu. Mais tout n'est pas si simple, surtout quand Gengobei va découvrir qu'il est entrain de faire fasse à un complot organisé...
Quelques mots : Très bon film. J'aime tomber de temps en temps sur ce genre de chambara (à noter que Shura n'est pas véritablement un chambara proprement parlé, j'entend par là qu'il ne faut pas s’attendre à voir des combats épiques entre des hommes perdus, mais ce long métrage en garde néanmoins la même époque, le même contexte, et la même ambiance) que je n'ai jamais eu l'occasion de voir, et d'en apprécier sa qualité cinématographique du début jusque la fin. Si je devrais lui donner un petit défaut ce serait néanmoins de : passer quelques scènes au ralenti en boucle (il en a pas beaucoup) mais bon les quelques scènes filmées en mode "coup de pied retourné des films de jean claude vandamme" m'ont un peu agaçées. Mise à part celà, on a droit à du lourd, une bonne ambiance, une bonne histoire, un très bon acteur, des scènes assez réalistes pour l'époque. Bref, je le conseil vivement pour les fans de films en noir et blanc d'époque, car selon moi, celui çi peut très bien faire partie d'un top 5 du genre.
The Restless
Titre : The Restless (Joong-cheon중천)
Réalisé par : Jo Dong-Oh
Avec : Ha-jun Yu, Jun-ho Heo, Sang-wook Pa
Long-métrage : sud coréen
Genre : action, aventure, drame, fantastique
Durée : 01h45 min
Année de production : 2007
Résumé : Yi Kwak, est un humain qui est né avec le don de voir les esprits et qui s'en sert pour combattre les démons et la cour corrompue. Trahi, et maintenant recherché, Yi Kwak trouve refuge dans un lieu saint, un endroit ou les morts restent quarante-neuf jours avant d'être réincarnés. Etant le seul humain a avoir réussi à traverser ce monde tout en étant toujours vivant, Yi Kwak va à nouveau combattre pour le bien, et pour son amour qu'il pensait à jamais perdu...
Quelques mots : Un scénario certe qui patôge un peu dans la boue, mais ce petit film à l'ambiance romantico-fantastique à selon moi le mérite d'apporter une bonne petite ambiance, de très jolis décors ainsi que de jolis costumes, des interprétations pas si mauvaises que ça, et des scènes de combats possèdant d'une assez belle chorégraphie. Bref, The Restless n'est pas un très très grand film en soi, et à certes quelques défauts de mise en scènes, et laissera également un petit gôut d'inachevé dans les papilles gustatives des spectacteurs, mais selon moi il se laissera quand même regarder, et apporte au final un bon p'tit moment de divertissement.
Réalisé par : Jo Dong-Oh
Avec : Ha-jun Yu, Jun-ho Heo, Sang-wook Pa
Long-métrage : sud coréen
Genre : action, aventure, drame, fantastique
Durée : 01h45 min
Année de production : 2007
Résumé : Yi Kwak, est un humain qui est né avec le don de voir les esprits et qui s'en sert pour combattre les démons et la cour corrompue. Trahi, et maintenant recherché, Yi Kwak trouve refuge dans un lieu saint, un endroit ou les morts restent quarante-neuf jours avant d'être réincarnés. Etant le seul humain a avoir réussi à traverser ce monde tout en étant toujours vivant, Yi Kwak va à nouveau combattre pour le bien, et pour son amour qu'il pensait à jamais perdu...
Quelques mots : Un scénario certe qui patôge un peu dans la boue, mais ce petit film à l'ambiance romantico-fantastique à selon moi le mérite d'apporter une bonne petite ambiance, de très jolis décors ainsi que de jolis costumes, des interprétations pas si mauvaises que ça, et des scènes de combats possèdant d'une assez belle chorégraphie. Bref, The Restless n'est pas un très très grand film en soi, et à certes quelques défauts de mise en scènes, et laissera également un petit gôut d'inachevé dans les papilles gustatives des spectacteurs, mais selon moi il se laissera quand même regarder, et apporte au final un bon p'tit moment de divertissement.
Triangle
Titre : Triangle (Tie saam gok)
Réalisé par : Ringo Lam, Johnnie To, Tsui Hark
Avec : Louis Koo, Simon Yam, Honglei Sun
Long-métrage : chinois, HK
Genre : romance, comédie
Durée : 01h41 min
Année de production : 2007
Résumé : Un soir d'orage, alors que trois amis discutent dans un bar, un mystérieux vieillard vient les trouver et leur propose de devenir riche facilement et rapidement. Les trois compères qui sont plutôt dans une phase de leur vie où l'argent serait un réel petit plus, vont accepter et se lancer tête baissée dans cet étrange coup du destin...
Quelques mots : Une association assez bien foutue de la part de ces trois grand réal, qui donne au final un bon petit polar jouissif bien ficelé au rythme d'une violence dégénérée, qui prouve que le cinéma HK a encore de la ressource. Personnelement j'ai trouvé le film sympatique et original, qui devrait sans aucuns doutes réussir à tenir en haleine le spectateur jusque la fin. Et puis, trois réalisateurs mythiques avec chacun un style différent, le tout réunni dans un seul et même film, ça vaut largement le coup d'oeil ;)
Réalisé par : Ringo Lam, Johnnie To, Tsui Hark
Avec : Louis Koo, Simon Yam, Honglei Sun
Long-métrage : chinois, HK
Genre : romance, comédie
Durée : 01h41 min
Année de production : 2007
Résumé : Un soir d'orage, alors que trois amis discutent dans un bar, un mystérieux vieillard vient les trouver et leur propose de devenir riche facilement et rapidement. Les trois compères qui sont plutôt dans une phase de leur vie où l'argent serait un réel petit plus, vont accepter et se lancer tête baissée dans cet étrange coup du destin...
Quelques mots : Une association assez bien foutue de la part de ces trois grand réal, qui donne au final un bon petit polar jouissif bien ficelé au rythme d'une violence dégénérée, qui prouve que le cinéma HK a encore de la ressource. Personnelement j'ai trouvé le film sympatique et original, qui devrait sans aucuns doutes réussir à tenir en haleine le spectateur jusque la fin. Et puis, trois réalisateurs mythiques avec chacun un style différent, le tout réunni dans un seul et même film, ça vaut largement le coup d'oeil ;)
mardi 27 septembre 2011
Love so Divine
Titre : Love so Divine (Shinbu Sueob)
Réalisé par : Hur In-Moo
Avec : Ji-won Ha, Kwon Sang-woo, In-Mun Kim
Long-métrage : coréen
Genre : romance, comédie
Durée : 01h50 min
Année de production : 2004
Résumé : Ayant comme unique but de devenir prêtre pour servir Dieu, Kyu-shik va pourtant croisé le chemin d'une jeune fille nommée Bong-hee. Son destin est peut être sur le point de changer...
Quelques mots : Ce film est juste du "My Sassy Girl" en mode catho. Moins bon, moins drôle, moins émouvant. Du déjà-vu mais un cran en dessous. Sans plus.
Réalisé par : Hur In-Moo
Avec : Ji-won Ha, Kwon Sang-woo, In-Mun Kim
Long-métrage : coréen
Genre : romance, comédie
Durée : 01h50 min
Année de production : 2004
Résumé : Ayant comme unique but de devenir prêtre pour servir Dieu, Kyu-shik va pourtant croisé le chemin d'une jeune fille nommée Bong-hee. Son destin est peut être sur le point de changer...
Quelques mots : Ce film est juste du "My Sassy Girl" en mode catho. Moins bon, moins drôle, moins émouvant. Du déjà-vu mais un cran en dessous. Sans plus.
Voice of a murderer
Titre : Voice of a murderer (Geu nom moksori)
Réalisé par : Park Jin-Pyo
Avec : Nam-ju Kim, Kang Dong Won, Sol Kyung-Gu
Long-métrage : coréen
Genre : drame
Durée : 02h02 min
Année de production : 2006
Résumé : Un jour, le jeune fils d'un célèbre présentateur de tv nommé Han Kyung-bae, disparait sans laisser de trace. Peu de temps après sa disparition, le ravisseur appelle la mère du garçon de neuf ans, exigeant 100.000$ à titre de rançon, en échange le jeune couple pourra récupérer l'enfant. Hélàs, la situation va vite dérapée...
Quelques mots : Dans l'ensemble plutôt bon, disposant d'une mise en scène subtile et d'une très bonne
interprétation des deux parents, et celà malgré quelques scènes qui atteigne le mélodramatique de la situation en mode trop poussée selon moi, Ce film qui est quand même, rapellons-le tiré de faits réels qui a fait trembler la Corée au début des années 1990, dipose en plus d'un final qui arrive à faire sortir le spectateur de la fiction pour le confronter à la triste réalité du drame, ce qui donnera un rendu assez réussi, surtout pour une histoire basée sur un récit romancé d'un événement de la vraie vie.
Réalisé par : Park Jin-Pyo
Avec : Nam-ju Kim, Kang Dong Won, Sol Kyung-Gu
Long-métrage : coréen
Genre : drame
Durée : 02h02 min
Année de production : 2006
Résumé : Un jour, le jeune fils d'un célèbre présentateur de tv nommé Han Kyung-bae, disparait sans laisser de trace. Peu de temps après sa disparition, le ravisseur appelle la mère du garçon de neuf ans, exigeant 100.000$ à titre de rançon, en échange le jeune couple pourra récupérer l'enfant. Hélàs, la situation va vite dérapée...
Quelques mots : Dans l'ensemble plutôt bon, disposant d'une mise en scène subtile et d'une très bonne
interprétation des deux parents, et celà malgré quelques scènes qui atteigne le mélodramatique de la situation en mode trop poussée selon moi, Ce film qui est quand même, rapellons-le tiré de faits réels qui a fait trembler la Corée au début des années 1990, dipose en plus d'un final qui arrive à faire sortir le spectateur de la fiction pour le confronter à la triste réalité du drame, ce qui donnera un rendu assez réussi, surtout pour une histoire basée sur un récit romancé d'un événement de la vraie vie.
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