Afin de les répertorier plus facilement, vous trouverez ci-dessous sous forme de petites fiches, les maîtres de l'art cinématographique asiatique.

Réalisateur, acteur, scénariste, auteur, monteur et producteur chinois.
Né le 1er mai 1946 à Guangzhou(Canton), en Chine.
Adepte de la colombe blanche, John Woo est issu d'un famille très pauvre, il se voit malgré une scolarité précaire très vite attiré par le monde du cinéma. Il décide alors d'intégrer le Matteo Ricci College, où il réalisera ses premiers moyen-métrages en 8 mm tels que : Fast Knot, Accidentally, The Cruel One. Âgé de 23 ans, John Woo devient assistant de production aux Studios de Cathay et en 1971, il rejoint la plus grosse compagnie de production de Hong Kong de l'époque, dirigée par les Shaw Brothers, et devient l'assistant personnel de l'un des grands réalisateurs de cinéma d'action du moment : Chang Cheh. C'est en 1973, que Woo réalise son premiere long métrage du nom de : The Young Dragons. Impressionné par le film, les dirigeants de la Golden Harvest lui offrent la chance de signer un contrat.
En 1975, John Woo produit son second long-métrage s'intitulant : The Dragon tamers, et reçoit très vite une réputation de réalisateur qui aime toucher un peu à tout les genres. En 1986, il est reconnu comme un maître de l'action specialisé dans les thrillers à dose violente avec son film culte : Le Syndicat du crime. En 1989 John Woo acquiert une réputation internationale avec son chef d'oeuvre : The Killer. Après 1992, et son film : A toute épreuve, les Etats-Unis vont lui offrir un premier contrat, et par la suite il va donc faire ses premiers tournages américains comme les films : Chasse à L'homme, Broken arrow,Volte/Face, qui lui feront la confiance du public américain. Peu de temps après, il sera reconnu comme l'un des realisateurs les plus rentables du monde, gràce à son film : Mission impossible 2 mettant en scene l'acteur Tom Cruise.
A partir de 2002, John Woo s'essaie à de nouveaux registres : comme son film de guerre : Windtalkers, son film de science-fiction: Paycheck, et dernièrement son film sur le cinéma médiéval chinois appelé : Red cliff.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Les opus du : Syndicat du crime, Just heroes, Les associés, A toute épreuve, Une balle dans la tête, The Killer, Les 3 Royaumes.

Réalisateur, produceur, scénariste et dialoguiste sud-coréen.
Né le 23 août 1963 à Séoul.
Ce passionné de cinéma qui est à l'heure actuelle passé maître dans les films sombres sur le thème de la vengeance, étudie dans un premier temps la philosophie à l'université de Sogang. Mais cette dernière n'offrant pas les cours d'esthétique qu'il a toujours voulu étudier, Park Chan-Wook se tourne alors vers le cinéma, où il trouve son centre d'intérêt, après avoir vu le fameux film d'Alfred Hitchcock, s'intitulant : Sueurs froides.
En 1992 le cinéaste réalise son premier film s'intitulant : Moon is the sun's dream, mais ce dernier est hélas un echec commercial.
C'est en 2000, après être devenu critique cinéma et après quelques temps d'inactivité cinématographique, que Park Chan-wook réalise son grand thriller : Joint security area, ce dernier va réellement l'imposer comme un des cinéastes majeurs du nouveau cinéma coréen.
A partir de 2002, il va se révéler au public international en reussisant à se distinguer des autres realisateurs du genre, grâce à ses deux petits bijoux cinématographique aux odeurs de trhiller sombre, que sont : Sympathy fo mr.vengeance et le fameux Oldboy.
Après avoir signé son volet intitulé : Cut dans le film : 3 extrèmes, il va bouclé sa "trilogie de la vengeance" avec le très bon : Lady vengeance. En 2009, il changera un peu de registre avec son film : Je suis un cyborg, et dernièrement il a sorti son film : Thirst, qui est basé sur le thème de la romance fantastique.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Joint Security Area, Sympathy for Mr.vengeance, Old boy, Lady vengeance, 3 extrèmes.

Réalisateur, producteur, et scénariste hong-kongais.
Né le 22 avril 1955 à Hong Kong.
A 17 ans, il commence sa carrière sur la chaine de télévision TVB où il produit et réalise de nombreuses émissions. En 1980, il signe sa première production sur grand écran avec le film : The Enigmatic case.
C'est en 1989 qu'il remporte son premier succès en tant que réalisateur avec le film All About Ah-Long, ce dernier sera un énorme succès au box-office et permettra à To de recevoir le titre de meilleur réalisateur aux Hing Kong Film Awards de 1990, tandis que l'acteur Chow Yun-Fat remportera le prix du meilleur acteur. En 1986, Johnnie To commence à aborder des thème plus divers notament avec son film : Happy Ghost, ce qui lui permet de tourner avec de grandes stars du cinéma Hong-kongais. C'est deux années plus tard seulement qu'il va connaitre enfin le succès, ce qui marquera sans doute le tournant de sa carrière avec le film : All about Ah-Long.
En 1993, il gagne sa place dans le milieu cinématographique international en co-rélisant : The Heroic trio.
Trois années plus tard, Johnnie To va fonder avec Wai Ka Fai une société de production (la Milkyway Image Ltd) ce qui donnera des films culte comme : The Mission, Fulltime Killer, Breaking News, ou encore le bon polar P.T.U.
Ses films Election et Election 2, sont sans doutes selon moi, ses deux films cultes qui lui permettra de récolter un succès indéniable dans le monde du cinéma. On oubliera pas non plus dernièrement son très bon film : Exilé qui met en scène ses acteurs cultes et sa production du film :Accident.
Quelques films culte du real que je vous conseille : The mission, FullTime Killer, PTU, Election 1 et 2, Breaking News, Exilé.

Réalisateur Acteur, Réalisateur, Scénariste, Auteur, Producteur, Monteur japonais.
Né le18 janvier 1947 à Tokyo au Japon.
Issu d'une famille assez pauvre, Takeshi Kitano debutera sa carrière en tant que comédien avec son ami Beat kiyoshi, ils formeront le duo Two Beat qui passera sur les chaines japonaises au cours des années 80.
En 1983 il jouera en tant qu'acteur dans le film Furyo, et six années plus tard il va se lancer dans la réalisation avec son polar : Violent Cop.
En 1994, il réalise un film du nom de : Getting any ?, film qui revellera son côté farceur et provocateur qu'on lui connait si bien. Par la suite, il adoptera une carrière assez symétrique avec d'un coté son nom de scene Beat Takeshi qd il joue en tant qu'acteur et son nom Takeshi kitano quand il est derrière la camera. En 1998, il retourve le realisateur de Furyo, pour le film : Tabou et jouera aussi deux années plus tard un rôle de professeur désabusé dans le film connu : Battle Royale .
Souvent acteur principal et scénariste de ses propres films, Kitano va réllement se faire connaitre grâce à ses polars violent et mélancolique comme : Sonatine, Jugatsu, Aniki, mais il se fait également une signature physique avec ses tics du visage (suite à son accident de moto en 1994), qui rendent ses personnages encore plus égnimatique et inquiétant.
C'est avec son film : Hana-bi, sorti en 1997 qu'il s'imposera véritablement au plan mondial.
Takeshi Kitano est également capable de changer de registre et de sortir de ces oeuvres pourvue de violence comme par exemple avec le film : A scene at the sea, ou encore des films plus poétique comme le très bon film : Dolls, inspiré d'un théatre de marionnettes japonais sorti en 2003. Ou plus recemment Achille et la tortue.
Dernièrement, il renoue avec ses premiers amours et ressort un film de Yakusas du nom de : Outrage.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Sonatine (mélodie mortelle),Getting any (pour le bon délire), Kids return, Hanna-bi, Violent Cop, Jugatsu, L'Eté de Kikujiro, Aniki, Zatoichi, Dolls, et son rôle dans Battle Royal ainsi que dans Blood & Bones.

Réalisateur, scénariste, auteur, producteur, monteur japonais.
Né le 23 mars 1910 à Tokyo, et décédé le 6 septembre 1998.
Très grand cinéaste à envergure internationale, on peut surement le considérer comme le "patron" des réalisateurs asiatiques, c'est grâce à ce grand maître que le public occidental a pu découvrir le cinéma japonais, et surement asiatique par la même occasion.
A la base Kurosawa avait une formation de peintre, le hasard va l'amener à se presenter à un concour, et sera engager par la Toho comme assistant réalisateur, il y fera alors une belle rencontre celle de Kajiro Yamamato, qu'il a toujours considèrer comme son mentor.
En 1943, il fait sa première mise en scène avec : La légende du grand judo. Rapidement, il se démarque des productions habituelles par ses oeuvres imprégnées d'un humaniste sincère, et par sa mise en scène à la fois inventive et d'une très grande précision, et également par la réalisation pointue de ses fameux storyboards de ses films qui sont considérés comme des œuvres d’art à part entière.
En 1951, grâce à son fabuleux film : Rashomon, il va avoir un véritable succès, et sera le premeir metteur en scène japonais à recevoir une récompence international majeure.
Trois années plus tard, l'immense succès que connu son film culte : Les sept samouraïs, renforce son prestige international. On pourra également retenir de cette période, les magnifiques prestation de son acteur fétiche répondant au nom de Toshirô Mifune, qui a joué dans pas moins de seize de ses films, et qui a surement contribuer à sa manière au succès de Kurosawa.
Plusieurs années plus tard, son film Dodeskaden sorti en 1970, entraine la faillite de la société de production d'Akira Kurosawa. Ce dernier suite à ce terrible echec et éprouvant de plus en plus de mal à trouver son public japonais, va élargir ses horizons, et produira cette fois çi à l'étranger avec la socité Mosfilm, son premier film du nom de : L'aigle de la taiga, qui recevra l'oscar du meilleur film étranger en 1975.
Par la suite, Kurosawa trouveras des associés de prestige étranger, tels que Coppola ou encore George Lucas, coté US, avec qui, il sortira en 1980 le fameux : Kagemusha et avec l'appui de Serge Silberman il realise l'innoubliable : Ran en 1985.
Avant son décès, Kurosawa réalise sa dernière oeuvre sortie en 1993, intitulée : Madadayo, film qui retrace véritablement toute la vie de ce grand réalisateur, et rend hommage à tous ses maîtres.
On pourra également noter qu'en 2000, Takashi Koizumi a rendu un véritable hommage à Korosawa, en produisant une oeuvre sorti des fonds de carton du nom de : Après la pluie, d'après un scénario écrit par Akira Kurosawa avant sa mort.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Rashomon, Le chateau de l'araignée, Les sept samouraïs, Kamegusha, Barberousse, Ran

Nom : Wong Kar-Wai (王家衛 WKW, Jiawei Wang)
Réalisateur, scénariste, et producteur hongkongais.
Né le 17 juillet 1958 à Shanghai en Chine.
Enfant, sa famille s'installe à Hong-Kong, le jeune Wong Kar Wai va très vite vouer une véritable passion pour l'art et le cinéma, et finira ses études diplomé en Arts graphiques de l'Ecole polytechnique de Hong-Kong. Il débute dans le monde du cinéma en entrant comme assistant de production de télévision ce qui lui permet de toucher à ses premiers scénarios pour des téléfilms et série télévisée d'époque, et ce qui va lui permettre surtout de travailler avec le meilleur scénariste de l'époque, M. Barry Wong, ce dernier va réellement lui permettre de commencer à travailler dans le milieu du cinéma.
En 1988, Wong Kar-Wai réalise son premier film d'après l'un de ses scénarios du nom de : As Tears go by, mais il ne recevra pas les mérites voulu du réal, car ce dernier étant jugé trop violent par les critique occidentaux
En 1990, le cinéaste réalise son second long métrage appelé : Nos années sauvages, sur le fond d'histoire amoureuses dans le Hong Kong des années 60, mais ce film sera néanmoins un echec commercial pour l'époque.
En 1994, Wong Kar-Wai décide de changer de registre et réalise un film sur thème de grande fresque historique mélant tradiction chinoise et scène de combat, s'intitulant: Les Cendres du temps. Ce dernier remportera le prix de la meilleur photo à Venise. Mais ce tournage qui a durer près de deux ans et le tout filmé en plein desert, à complétement lessiver Wong Kar-Wai, qui décide alors de revenir à ses premiers amours, c'est à dire de filmer simplement des personnages dans le Hong Kong contemporain qu'il aime tant. Il va même tourner sans autorisation la nuit, caméra à l'épaule dans le quartier de son enfance, pour donner suite à un film connu sous le nom de : Chungking Express, ce dernier est réellement celui qui sera son plus gros succès public et qui le fera reconnaître au niveau international.
En 1997, son film Happy Together qui a fait beaucoup de poélémique lors de sa sortie, lui fait remporté le Prix de la mise en scène à Cannes.
En 2000, Wang Kar-Wai qui a réellement obtenu une patte de metteur en scène bien à lui, réalise le très bon : In the Mood for Love, qui recrée un environnement d'un Hong Kong d'après guerre sous une histoire de passion et d'amour charnelle. Et en 2004, il réalise le même genre de film et remet le couvercle avec : 2046, qui se démarque quand même par son univers de science-fiction à travers l'imaginaire d'un écrivain d'époque.
En 2007, Wai réalise son premier film made in USA avec son titre : My Blueberry Nights, avec un casting américain de prestige, composé de Natalie Portman, Jude Law, Rachel Weisz.
Dernièrement, il travaille sur son projet appelé : The Lady from Shangai qui devrait sortir prochainement , et qui sur papier donne un rôle à Takeshi Kitano et Nicole Kidman.
Quelques films culte du real que je vous conseille : In the Mood for Love, Chucking Express, Les Cendres du temps, 2046

Réalisateur, acteur, scénariste, directeur de la photographie japonais.
Né le 24 août 1960 à Yao, petite ville près d'Ōsaka au Japon.
Cet inclassable réalisateur, qui a réalisé pas moins d'une cinquantaine de films sur un peu plus de 10 ans, est particulièrement connu pour le coté assez trash et hyper-violent de la plupart de ces films ainsi que sa richesse pour les effets techniques.
Il débute sa carrière en tant qu'assistant réalisateur de Shohei Imamura à l'âge de 18 ans et ressort diplômé de l'Academy of Broadcasting and Film, tout en commençant à toucher à la réalisation de quelques téléfilms, dont Hit and Run en 1991.
Dans le cours des années 90's, il signe de nombreux petits films qui sortent directement en vidéo, appelé au Japon le V-Cinema.
C'est en 1994, que Takashi Miike réalise enfin son premier long métrage sur un thème de yakuza du nom de : Les Affranchis de Shinjuku, ce dernier va véritablement le faire remarqué auprès du monde de la cinématographie nippone.
En 1998, il sort un film passez poétique s'intitulant : Bird people from China et de 1999 à 2002, Miike va réaliser la trilogie : Dead or Alive.
En 2000, il signe un film du nom de : Visitor Q, ce dernier sera beaucoup controversé de par son ambiance malsaine, gore, et assez poussée à l'extrème.
En 2001, il continue dans sa lignée des films violent en sortant : Ichi the killer, très apprécié par la plupart de ces fans, de part sa bonne adaptation du manga.
C'est en 2002, que Takeshi Miike accède réellement à la consécration internationale avec son film d'amour sanglant se nommant : Audition.
En 2005, il participe au même titre que ces compères cinéastes Fruit Chan et Park Chan-Wook, à un projet regroupant trois films, et s'intitulant: 3 Extremes.
En 2007, il change un peu de registre tout en gardant ses bases qu'on lui connait en toucher au monde du westerne aevc son film : Sukiyaki Western Django et il se fera également remarqué par son assez bon film : Crows Zero.
Prochainement, Miike se lance dans le remake pour toucher à des films de samouraïs aussi cultes que sacrés, en promettant deux films du nom de : 13 assassins et Hara-Kiri.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Audition, Ichi the Killer, Crows Zero, 3 Extremes

Réalisateur, acteur, scénariste, producteur, directeur artistique, sud-coréen.
Il est né le 1er janvier 1960 à Gyeongsang en Corée du Sud.
Kim Ki-Duk est connu pour ses films aux caractères plutôt déconnectés et pour ses personnages assez marginaux. Il grandi dans un petit village perdu dans les montagne, qu'il quitte en 1969 à l'âge de 9 ans pour s'installé à Séoul où il fait ses études.
Agé de 17 ans il se voit dans l'obligation de quitté le lycée après que son frère ait été renvoyé. Il se tourne alors vers des études d'agricole pour ensuite travailler en tant qu'ouvrier. Trois ans plus tard il décide de s'engager dans les Marines, sorti transformer de ce passage de sa vie, il passe les deux années suivantes dans un monastère en vue de devenir prêtre.
Ayant toujours eu une attirance pour l'art et particulièrement pour la peinture, il va une nouvelle fois décider de changer de vie, et il quitte la corée pour aller étudier en France en 1990. Une fois sur place, après une année il se trouve très vite à sec et afin de gagner sa vie, Kim Ki-Duk se met à vendre ses propres tableaux, et par la même occasion il va découvrir le monde du cinéma, en restant particulièrement marqué par des films tels que : Le silence des agneaux et Les Amants du Pont-Neuf.
En 1994, après deux années passée à étudier l'art plastique à Paris, Kim Ki-Duk retourne en Corée, et ecrit son premier scénario intitulé : Painter and prisoner, avec lequel il recoit Prix de la Création par l'Association des Scénaristes.
En 1995, son second scénario du nom de : Illegal crossing, remporte Grand Prix du Scénario, délivré par la Commission du Film Coréen.
En 1996, il met en scène son premier film poétique du nom de : The crocodile, laissant apparaître son propre style.
En 1997, il sortira également le film : Wild Animals, mais ce dernier sort dans un anonymat les plus total.
Assez présent dans les différents festivals internationaux, Kim Ki-Duk commence de plus à en plus à faire parler de lui., mais c'est véritablement avec son long métrage du nom de : L'île qui connu un véritable succès en Europe, qu'il va atteindre une renommée mondiale, pourtant les critiques coréennes ont violemment rejetté son film.
En 2000, il réalise ensuite un film du nom de : Real Fiction, film assez expérimentale tourné en moins de quatre heures.
En 2001, son film : Adresse inconnue marque un tournant assez important dans sa carrière, car ce dernier étant à la fois plus maitrisé et plus mature, fait parler de lui.
En 2003, Kim réalise Printemps, été, automne, hiver... et printemps, une fiction dotée d'une touche spirituelle, accompagnée d'une très belle photographie et d'une très grande beauté, qui fut réellement apprécié par les critiques.
En 2004, son film : Samaria lui vaut l'Ours d'argent du meilleur réalisateur au Festival de Berlin, et également le prix du meilleur réalisateur au Festival de Venise pour son film : Locataires, qui est d'ailleur agréablement bien reçu par son public et très apprécié par ses nombreux fans.
Dernièrement, en 2010, Kim Ki-Duk a sorti un film imbibé de son univers tel qu'on lui connait si bien, mélangeant à la fois rêve et réalité, intitulé : Dream.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Printemps, été, automne, hiver... et printemps, Adresse inconnue, Samaria, Dream, Locataires

Réalisateur, acteur, scénariste sud-coréen.
Né le 14 septembre 1969 à Séoul.
Bong Joon-ho est fils de designer, étant bercé dans le milieu de l'art, une fois ses études en sociologie terminées, c'est tout naturellement qu'il se dirige vers l'étude du cinéma à la Korean Academy of Film Arts. Démontrant déjà un véritable talent, son film de fin d'étude, un court métrage filmé en 16mm du nom de White Man, est sélectionné aux Festivals de Vancouver et de Hong Kong.
En 2000, il sort son premier long métrage tourné en 35mm : Barking Dog, qui le révèle auprès du monde cinématographique coréen.
En 2003, Bong Joon-ho réalise un film tiré de l'histoire réelle d'un serial-killer, s'intitulant : Memories of Murder, son film reçoit un véritable succès commercial, ce dernier attirera plus de 5 millions de spectateurs en Corée du Sud et lui donnera une réelle reconnaissance internationale.
En 2005, il crée le scénario de Antarctic Journal, un film de Yim Pil-sung, mélant son acteur clé : Song Kang-Ho.
Avec son troisième long métrage : The Host, sorti en 2006 et inspiré par un incident survenu en Corée du Sud à la fin des années 80, Bong Joon-ho confirme son talent de réalisateur.
En 2008, il se joint aux réalisateurs Leos Carax et Michel Gondry et participe au triptyque nommé : Tokyo !. Les mauvaises langues ou les plus grands fan de Bong diront sans mal que seul son opus "Shaking Tokyo" réussi à sauver ce film.
En 2010, Joon-ho Bong réalise le très touchant : Mother, ce dernier récolte un très bel acceuil niveau critique.
Dernièrement il travaille avec un autre grand nom du cinéma coréen qui n'est d'autre que Park Chan-Wook, pour une adaptation de la bande dessinée post apocalyptique créée par Jacques Lob et Jean-Marc rochette; du nom de : La Transperceneige.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Mémories for Murder, The Host, Mother, son volet dans Tokyo!, et également Antartic Journal pour son scénario.

Réalisateur, acteur, scénariste, producteur thaïlandais.
Né le 8 mars 1962 à Bangkok en Thaïlande.
Pen-ek Ratanaruang est un des noms à retenir pour ce qui touche au cinéma thaïlandais. Entre 1977 et 1985, il étudie l'histoire de l'art au Pratt Museum de Londres, et pendant ses moments perdus il découvre le cinéma à travers de grands noms tels que : Jarmusch, Ozu, Allen ou encore Fellini. De retour en Thaïlande, il rentre dans une agence de pub et débute sa carrière derrière la camera en signant quelques post publicitaires.
C'est en 1997, qu'il réalise son premier long métrage intitulé : Fun Bar Karaoke, ce dernier assez bien acceuilli, reçoit le prix spécial du jury au Festival des 3 continents de Nantes.
Deux années plus tard son film : 6ixtynin9 fait le tour des festivals, et trois années qui suivent son film : Monrak Transitor est sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes de 2002.
En 2003, Pen-ek Ratanaruang va trouver la reconnaissance internationle avec son très acclamé film : Life in the Universe, film très apprécié par ses fans mélangeant culture japonaise et thaïlandaise.
En 2004, il est appélé par Wisit Sasanatieng, pour jouer le rôle du narrateur dans le film : Citizen Dog.
En 2006, Pen-ek retavaille de nouveau avec ses compères de Life in the Universe, à savoir : Prabda, Doyle et Asano, et confirme sa popularité en présentant en compétition au Festival de Berlin, son film se nommant : Vagues invisibles.
En 2008, il réalise son sixième long métrage du nom de : Ploy, un drama érotique sur un fond de subtil mélange entre rêve et réalité, qui sera très bien reçu par les critiques et très apprécié par ses fans.
Dernièrement Pen-ek Ratanaruang, a travaillé sur un projet de dramatico-époouvant s'intitulant : La Nymphe, et qui devrait sortir prochainement.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Last life in the Universe, Ploy

Réalisateur, auteur, scénariste japonais.
Né le 19 juillet 1955 à Koke au Japon.
Kiyoshi Kurosawa, qui n'a malgré le même nom, aucun lien de parenté avec Akira Kurosawa, est assez connu pour ses films à tendance thriller/horreur/fantastique. Il débute sa carrière derrière la caméra en réalisant une dizaine de petit films tournés en 8mm, de 1974 à 1983, dont son premier jet du nom de : Rokkô. C'est durant cette période et avec l'un de ces courts métrages du nom de : Shigarami Gakuen , récompensé en 1980 au PIA Film Festival, que Kiyoshi acquiert une réputation dans le milieu du cinéma nippon. Peu de temps après il se fait embauché par la : Nikkatsu (production axée sur le roman porno), et en 1983 il réalise son premier long métrage du nom de : Kandagawa Wars, mais qui aura très peu de succès. Ne convenant pas à l'esprit de la société de production, dù à un grande manque de scènes érotiques, la : Nikkatsu refuse de produire son second film : Joshi Dasei : Hazukashii Seminar. Assez Vexé, Kiyoshi Kurosawa déciode d'aller voir ailleur, et il s'en remet alors à une société de réalisateurs indépendants, cette dernière rachete les droits du film, qui ressort en 1985 sous le nom de : The Excitement of the Do-Re-Mi-Fa Girl.
A la suite de cet incident,étant désormais sur la liste noire des producteurs, la carrière de Kurosawa va connaître un arrêt brusque.
Agé de trente ans, il retourne à l'université Rikkyô en tant qu'enseignant, et influence à son tour de futurs cinéaste japonais, tels que Makoto Shinozaki ou encore Takashi Shimizu.
En 1989, Kurosawa revient dans le circuit gràce à son ami l'acteur : Juzo Itami, et décide de s'essayer au thriller fantastique pour sortir un film intitulé : Sweet home, ce film fera véritablement de lui un réalisateur à part entière, et imposera d'une certaine manière son style.
En 1992, après avoir passé deux ans à travailler sur des téléfilms pour la Kansai Tv, Kiyoshi Kurosawa, réalise son film : The Guard From The Underground, découlant d'un petit succès de la part du public et d'une sortie en salle, ce film s'impose comme son oeuvre la plus aboutie jusque las.
C'est avec son film : Cure sorti en 1997, qu'il commence vraiment à atteindre une renommée au delàs de l'occident, le fesant de plus en plus remarqué dans de nombreux festivals.
Enchaînant avec la sortie de ses films : Licence to live en 1998 et Vaine Illusion ainsi que Charisma en 1999, Kurosawa s'impose une nouvelle fois avec son film intutilé : Kaïro sorti en 2001, qui connaîtra un très bon succès et qui va véritablement l'imposer grâce à son sens du cadre et du rythme parmi les grands noms du cinéma de la peur.
En 2003, il propose son film : Jellyfish au Festival de Canne, mais n'ayant pas reçu un énorme succès, Kurosawa décide de revenir à la réalisation de films de fantôme et réalise : Séance sorti en 2004 et Loft sorti en 2006. La même année ou son film : Kaîro va faire l'objet d'un remake américain de la part de Wes Craven et qui sortira sous le nom de : Pulse.
En 2007, il sort un film du nom de : Retribution et en 2008, Kurosawa réalise : Tokyo Sonata, changeant un peu de registre et dressant le portrait d'une famille japonaise ordinaire. Ce dernier recoit le Prix Spécial du Jury au Festival de Cannes, couronnant finalement son travail.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Cure, Kaïro, Retribution, Tokyo Sonata

Réalisateur, scénariste coréen.
Né le 27 avril 1962 à Séoul en Corée du Sud.
Im Sang-soo, fils d'un critique de cinéma, étudie la sociologie à l'Université Yonsei puis s'oriente vers le 7ème art en intégrant la Korean Film Academy en 1989. Il débute sa carrière en travaillant comme assistant auprès de Im Kwon-Taek. En 1995, il travaille en tant que scénariste sur le film : The Eternal Empire, et gagne le prix de la création à la compétition pour la promotion du cinéma coréen. En 1998, Im Sang-soo réalise son premier film du nom de : Girls'Night Out, son premier jet étant couronné de succès, il commence à se faire un nom auprès de ses confrères cinéastes coréen. Et en 2000, il remet le couvercle en sortant son film du nom de : Tears, racontant la dérive d'une bande d'adolescents séjournant à Séoul.
Avec son film : Une Femme Coréenne produit en 2003, il accède véritablement à la reconnaissance internationale, ce dernier sera représenté en compétion à la Mostra de Venise, un an plus tard, et reçoit également le Lotus D'or au Festival du film asiatique de Deauville en 2004'or au Festival du film asiatique de Deauville.
Son film suivant du nom de : The President's last Bang, réalisé en 2005, remportera un franc succès de la part des critiques, particulièrement pour ces superbes travelings, et sera sélectionné par la quinzaine des réalisateurs de Cannes la même année.
En 2006, Im Sang-soo réalise : Vieux Jardin, film qui démarre là où l'histoire de : The President's last Bang s'est arretée, ayant pour toile de fond le soulèvement de Kwangju de 1980. Ce dernier étant l'adaptation du célèbre roman à succès de Hwang Sok-yong.
En 2010, le cinéaste réalise un remake du chef d'oeuvre de Ki-young Kim sorti en 1960 sous le nom de : The Housemaid, ce dernier sera sélectionné en compétition officielle au 63ème Festival de Cannes.
Quelques films culte du real que je vous conseille : The President's Last Bang, Une Femme Coréenne, Vieux Jardin.

Réalisateur, scénariste, producteur, monteur japonais.
Né en 1962 à Tokyo, au Japon.
Considéré comme l'un des réalisateurs japonais les plus prometteurs, Hirokazu Kore-Eda ressort diplômé de l'Université de Waseba, pour ensuite rejoindre la compagnie TV Man Union au début des années 90's, pour laquelle il va réaliser de nombreux documentaire dont : But... et Another Education. En 1994, l'un des ses travaux du nom de : Without Memory, documentaire basé sur le thème de la mémoire, le fait remarquer.
C'est en 1995, que Hirokazu va réaliser son premier long métrage intitulé : Maborosi, ce film de fiction recevra Prix Osella d'Or au Festival de Venise et commencera à faire parler de lui en dehors du Japon.
En 1998, il sort une réalisation qui est à mi-chemin entre film de reflexion et reportage dont le sujet aborde : la mort, du nom de : Après la vie.
En 2001, son film : Distance est assez remarqué par les critiques, et sera en compétion au Festival de Cannes, la même année.
Avec son excellent film : Nobody Knows très apprécié par ses fans et par la presse,produit en 2003, Hirokazu Kore-Eda ,atteint enfin une reconnaissance plus solide. Son film sera également en compétion au Festival de Cannes de l'année 2004, et vaudra à son jeune acteur de 14 ans répondant au nom de Yagira Yuya,le Prix d'interprétation masculine.
En 2009, le cinéaste revient avec un nouveau film qui aborde le thème du deuil, et s'intitulant : Still Walking, ce dernier reçu de nombreux papiers élogieux en sa faveur.
En 2010, son film Air Doll remporte le premier prix du Festival du Film de Cabourg ,et également le prix Un Certain Regard à Cannes.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Nobody Knows, Still Walking, Air Doll

Réalisateur, acteur, scénariste, franco-vietnamien.
Né le 23 décembre 1962 à Da Nang, au Vietnam.
Connu pour ses thèmes de prédilection que sont en autre : la guerre et ses conséquences morales, le déchirement familial, le deuil... Il eu une enfance marquée par la fameuse guerre qui traverse le Vietnam à l'époque, et alors âgé de 13 ans il part se réfugié en France. Très attiré par le cinéma Tran Anh Hung entre à l'Ecole Louis-Lumière en 1987 et y fait des études d'opérateur. En projet de fin d'étude, il réalise son premier court métrage intitulé : La Pierre de l'attente.
En 1993, Tran Anh réalise son premier long métrage du nom de : L'Odeur de la papaye verte qui fut directement un énorme succès. Ce portrait visuellement très soigné se fait très vite remarquer par ses fabuleux décors, et son histoire remplie d'une fraicheur peu commune, et se vera véritablement ovationné par la critique de l'époque, l'amenant directement sur le feu des rampes, et lui permettant de gagner la Caméra d'or du Festival de Cannes de 1993 et le César de la meilleure première œuvre en 1994.
Son film suivant : Cyclo est remarqué par sa grande brutalité à la fois physique que psychologique, et remporte le Lion d'or de la Mostra de Venise en 1995. Il devient ainsi l'un des plus jeunes cinéastes à obtenir cette distinction.
En 2000, Tran Anh Hung tourne son film : A la verticale de l'été, ce dernier constituant le dernier volet de sa "trilogie vietnamienne", et recevra encore une fois de très bonnes critiques.
Après pret de huit ans d'absence et trois films sur le Vietnam, Tran Anh décide de marquer son retour derrière la caméra par un tournant décisif, en réalisant un film d’action baroque aux odeurs de thriller poétique, le tout accompagné d'un casting international et d'une production espagnol, réunissant plusieurs acteurs made in hollywood, tels que Josh Hartnett, Russ Kingston et Elias Koteas, et s'intitulant : Je Viens Avec La Pluie, sorti au Japon le 6 juin 2009.
Sorti dernièrement, son film : La Ballade de L'impossible, ce dernier étant l'adaptation du roman du japonais Haruki Murakami.
Quelques films culte du real que je vous conseille : L'Odeur de la papaye verte, A la verticale de l'été

Réalisateur, scénariste, sud-coréen.
Né en 1974 à Séoul, en Corée du Sud.
Petit "jeunôt" actuel du marché des réalisateurs asiatiques, il se fait rapidement remarquer par ses deux premiers jets très prometteurs.
Très vite intéréssé par le monde du cinéma, Na Hong-jin décide d'étudier les Arts industriel à l'université d'Hanyang et sort diplômé de l'Université de Corée National des Arts.
Il débute sa carrière en réalisant de nombreux court métrages, dont deux qui se font remarqué : A Perfect Red Snapper Dish en 2005 et Sweat en 2007, ces derniers lui vaut plusieurs récompences au niveaux national et international et lui permettre de peu à peu se faire connaître.
En 2008, il réalise son premier long métrage intitulé : The Chaser, son film est directement très apprécié de la part des critiques, et lui voit une réelle attraction de la part du public. Ce dernier a battu des records au box-office en Corée du Sud, avec plus de 3 millions d'entrées, et ce seulement en 20 premiers jours après sa sortie. The Chaser qui fait réllement un nom à l'ami Na Hong-jin, remportera également le grand prix action Asia du festival du film asiatique de Deauville en 2009 et se verra acheter les droits de la part de Warner Bros en vue de preparer un futur remake américian.
Tout recemment, il sort son second film intitulé : The Murderer (The Yellow Sea), qui a déjà reçu quatre nominations au Festival de Cannes 2011, dont le Prix Un Certain Regard, le Prix du Jury Oecuménique, le Prix du Jury, ainsi que le Prix de la mise en scène.
Quelques films culte du real que je vous conseille : The Chasser, The Murderer

Réalisateur, scénariste, producteur malaisien, taïwanais.
Né le 27 octobre 1957 à Kuching en Malaisie.
Passant ses vingt premières années dans un petit village de Malaisie, il décide de partir pour Tapei afin d'étudier l'art et le cinéma à l'Université Culturelle de Chine. Il débute sa carrière comme producteur de théâtre, et se lance ensuite dans la réalisation de plusieurs scénarios de moyens-métrages pour la télévision de Hong Kong de l'époque : dont deux qui se font remarqué initulé : Tous les coins du monde produit en 1989 et Les garçons sorti en 1991.
En 1992, Tsai Ming-liang réalise son premier long-métrage s'intitulant : Les Rebelles du dieu néon, son style mariant à la fois une vision pessimiste de la société, ainsi que les difficultés des êtres à communiquer entre eux, commence à prendre forme.
En 1994, il signe le film : Vive l'amour, ce dernier remporte le Lion d'Or à Venise, et commence à le faire remarquer au niveau international. Trois années, plus tard son film : La Rivière remportera également un prix , celui du Prix Spécial du Jury à Berlin, et confirma ainsi peu à peu une petite notoriété.
En 1995, Tsai Ming-liang décide de toucher au monde de la science fiction avec son film : The Hole, primé à Cannes, ce dernier confirma pour de bon son talent.
Après une pause, il revient en 2001 et réalise son film : Et là-bas, quelle heure est-il ?, et en 2002 un court métrage du nom de : Le Pont n'est plus là, ces deux drames à la fois burslesque et poétique donne une nouvelle dimension à son cinéma.
En 2005, le cinéaste surprend tout le monde avec son film intitulé : La Saveur de la pastèque, film qui se démarque et fera réagir de nombreux critiques par le coté torride et sulfureux de l'oeuvre.
En 2006, Tsai Ming-liang réalise un film qui se passe en Malaisie du nom de : I Don"t Want to Sleep Alone, et en 2009 il sort son film du nom de : Visage, accompagné de son acteur fétiche Lee Kang-Sheng. Ce film lui fera remporter pas moins de 9 nominations au Festival de Cannes 2009 edition n° 62.
Quelques films culte du real que je vous conseille : La Saveur de la pastèque pour son coté "spécial" de l'oeuvre, The Hole, Visage.

Réalisateur, scénariste, producteur, producteur exécutif, sud-coréen.
Né le 25 octobre 1960 à Séoul en Corée du Sud.
Le plus souvent connu pour son sens du détail et pour son style à la fois poétique et minimaliste, mélant des relations amoureuses dont les personnages principaux ont souvent du mal à exprimer leurs sentiments. Hong Sangsoo, après avoir étudier le théâtre et le cinemé à l'université de Chungsang de Séoul, décide de partir continuer ses études aux Etats-Unis, où il realisera ses premiers courts métrages au sein du College of Arts and Crafts de Californie et à l'Art Institute situé à Chicago.
De retour en Corée du Sud, il réalise en 1996 son premier long métrage intitulé : Le jour où le cochon est tombé dans le puits, qui connaît immédiatement un certain succès de la part des critiques et du public.
Deux ans plus tard, il remet le couvercle avec son film : Pouvoir de la province de Kangwon, film réalisé en noir et blanc qui recoit la mention spéciale "Un Certain Regard"au Festival de Cannes 1998.
Et en 2000, il signe son film s'intitulant : La Vierge mise à nu par ses prétendants, également tourné en noir et blanc.
Ces trois films lui permettent de reçevoir plusieurs récompenses au Dragon Blue Coréen, ainsi qu' au Festival de film de l'Asie pacifique, de Rotterdam et de Vancouver.
Ayant acquis un statut assez confortable de le monde du cinéma coréen, Hong Sangsoo réalise en 2004 son film : Turning gate, ce dernier renforcera son image, et remportera un important succès commercial, notamment auprès de son public coréen.
La même année le cinaste réalise son film : La Femme est l'avenir de l'homme, et en 2005 il signe son film : Conte de cinéma, ces derniers seront l'un et l'autre en compétion au Festival de Cannes, confortant ainsi son statut sur le plan international.
Deux plus tard, son film : Woman on the Beach sera présenté à Berlin, et en 2008, il réalise son film : Nigh and Day, qui a la particularité d'être le premier film du réal tourné en dehors de la Corée
En 2009, son long métrage : Les femmes de mes amis, sera présenté à Cannes et recevra plusieurs nominations à la : Quinzaine des Réalisateurs edition n° 41.
Sorti récemment, son film intitulé : HA HA HA, a remporté le prix "Un Certain regard" au Festival de Cannes de 2010.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Turning Gate, La Vierge mise à nu par ses prétendants

Réalisateur, acteur, scénariste, producteur, monteur, hong-kongais.
Né le 2 janvier 1951 au Viêt Nam.
Ce Spielberg asiatique, fesant partie des réalisateurs les plus connus de Hong-Kong, nottament grâce à son inventivité et par la distinction de ses films de sabre mélant souvent une en mise en scène assez violente, soupoudrée d'un humour noir et de combats spectaculaires. Tsui Hark qui revient à Hong-Kong après avoir étudié l'art et le cinéma aux Etats-Unis dans les années 70's, débute sa carrière à la télévision en tant que développeur et réalisateur pour quelques séries de l'époque.
C'est quelques années plus tard, que Tsui Hark va faire ses premiers pas, en réalisant en 1979 son premier long métrage intitulé : Butterfly murders, en commencant aussi à imposer son style avec : Histroires de cannibales produit en 1980, et également la même année avec : L'Enfer des armes, qui lui vaut une image sombre au vue de la violence du film. Ces trois premiers jets, extrêmement agressifs et provocateurs, sont d'ailleur rejetés par le public, mais ont le mérite de commencer à faire parler de lui.
Tsui Hark décide alors de lever le pied, et entre en 1981, à la Cinema City du producteur Karl Maka afin de tourner des films plus conventionnels. Et par ce fait, il sort en 1983 son film : Zu, les guerriers de la montagne magique, qui va véritablement marquer un tournant dans la prise de conscience de son futur style, et deviendra par la suite la marque distinctive du cinéaste. Mais malgré de bons papiers, ce dernier ne va pas avoir un énorme succès public. Tsui Hark décide alors de retourner au cinéma commercial et de fonder sa propre maison de production en 1984 du nom de : 'Film Workshop'. On peut retenir de cette période, quelques œuvres importantes telles que : Shanghai Blues realisé en 1984, et Peking Opera Blues sorti en 1986, la même année où le cinaste crée également sa propre société d'effets spéciaux du nom de : Cinefex Workshop
Un an plus tard, Tsui Hark décide de s'attaquer à la production plutôt qu'à la réalisation, et nous aurons droit au fameux film culte : Le Syndicat du Crime réalisé par John Woo, ainsi qu'à la saga des : Histoires de fantômes chinois qui compte pas moins de quatre volets, et dont il réalisera le troisième.
En 1991, il repasse du coté de la camera, et réalise : Il était une fois en Chine, film très apprécié par ses fans, joué par l'acteur Jet Li, qui comportera plusieurs opus, dont Tsui Hark signera les trois premiers volets de la série ainsi que le cinquième. A noter que Tsui Hark remportera grâce au premier opus de la saga le : Prix du meilleur réalisateur lors des Hong Kong Film Awards en 1992.
Les années suivantes, il poursuit son travail de realisateur avec des films comme : Green Snake en 1993, son mélodrame : The Lovers en 1994, son long métrage : The Blade en 1995. Ces trois films sont souvent cités comme "films clés" pour les nombreux fans du réalisateur.
Ensuite, après avoir réaliser son fim : Le Festin chinois, Tsui Hark partira aux Etats-Unis tenter sa chance à Hollywood, et realise deux films avec Jean-Claude Van Damme s'intitulant : Double Team et Piège à Hong Kong. Ne s'etant vraiment pas fait aux méthodes américaines, le cinéaste revient à Hong Kong , où il réalise deux autres œuvres appelées : Time and tide en 2000, et Legend of Zu en 2001, ce dernier continuant à être lié à la culture chinoise et utilsant les techniques les plus avancées d'effets spéciaux de l'époque.
En 2005, Tsui Hark revient au genre Wu Xia Pian et réalise : Seven Swords, adapté d'un roman populaire de Liang Yusheng.
En 2007, accompagné de ses compères : Ringo Lam et Johnnie To, le cinéaste réalise la première partie du film : Triangle.
En 2008, il change de style avec : All about women, et dernièrement son film sortie en 2011 du nom de : Detective Dee : Le mystère de la flamme fantôme, mettant en scène l'acteur Andy Lau, a reçu une nomination à la Mostra de Venise edition n° 67.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Il était une fois en Chine 1 et 2, The Lovers, The Blade, Green Snake, Time and Tide, Seven Swords

Réalisateur, acteur, scénariste, producteur, directeur de la photographie, superviseur de production, chinois.
Né le 14 novembre 1950 à X'ian, en Chine.
Particulièrement connu pour ses réalisations de fresques marquées par une grande beauté d'images, d'une belle esthétique des décors et des costumes, et par une critique innavouée de faits historiques chinois, tels qu'en autre : la Féodalité Impériale et la Révolution Culturelle.
En 1966, lorsque la Révolution Culturelle Chinoise éclate, Zhan Yimou âge de 16ans se voit contraint de stopper ses études. Travaillant dans une ferme pendant trois ans et dans un atelier de tissage durant 7 ans., il se découvre peu à peu une nouvelle passion : celle de la photographie, et commence alors une activité secondaire en tant que peintre et photographe amateur. En 1978, il se presente à l'Institut du Cinéma de Pékin, et en insistant, malgré son âge avancé il réussit à integrer la section "prise de vue" de cette dernière. Il en sort diplômé en 1982, et travaille en tant que directeur de la photographie sur son premier film intitulé : Un et huit réalisé par Zhang Junzhao, et poursuit avec : Terres jaune et La Grande Parade, tout deux réalisés par son confrère : Chen Kaige.
Venant de changer de studio, il se tente au rôle d'acteur dans le film de Wu Tianming s'intitulant : Le Vieux puits, ce dernier lui permet d'obtenir un petit tremplin pour sa carrière et le Prix du meilleur acteur au Festival de Tokyo en 1987.
La même année, Zhang Yimou qui a toujours eu envie de passer de l'autre coté de la camera, réalise son premier film : Le Sorgho Rouge, avec ce film le cinéaste remporte l'Ours d'or au Festival de Berlin de 1988, et par la même occasion il commence à se faire connaître par le public international.
Pendant le tournage de ce dernier, Zhang Yimou il fait la connaissance de l'actrice : Gong Li, cette dernière deviendra son épouse, et le cinaste la fera tourner dans plusieurs de ces oeuvres, telle que: Judou en 1989, Epouses et Concubines en 1991, Qiu Ju une femme chinoise en 1992, le fameux film : Vivre en 1994, et dans le film : Shanghai Triad en 1995. Ces derniers lui permettent réellement d'atteindre une très bonne renommée en Occident et lui permettent également de gagner de nombreux prix dans les festivals internationaux, tels que le Lion d'argent au Festival de Venise 91 pour Epouses et Concubines, le Lion d'or au Festival de Venise 92 pour Qiu Ju une femme chinoise, et le Grand Prix du jury au Festival de Cannes 94 pour son film : Vivre.
En 1998, il réalise son film : Pas un de moins, qui remportera également le prix Lion d'or au Festival de Venise 99, et en 2000 il reçoit l'Ours d'argent au Festival de Berlin pour : The Road Home.
En 2002, le cinéaste s'attaque au film de sabre taditionnel avec son long-métrage : Hero, où il dirige des acteurs tels que : Maggie Cheung, Tony Leung Chiu Wai, Jet Li, Donnie Yen et Zhang Ziyi, ce dernier est un succès international. Un an après, Zhang Yimou continue dans sur sa lancée avec son film : Le Secret des poignards volants.
En 2004, il se tourne du coté de la production et va produire le fameux : 2046 réalisé par Wong Kar-Wai.
Avec son film intitulé : La Cité interdite, réalisé en 2006, Zhan Yimou s'attaque au plus gros budget de l'histoire du cinéma chinois, ce long métrage marque un tournant dans la carrière du cinéaste, qui laisse entrevoir que ce dernier délaisserait le cinéma d'auteur, pour s'inscrire de plus en plus dans le cinéma à grand spectacle soupoudré d'effets spéciaux.
En 2009, Zhan Yimou a réalisé : A Woman, a Gun and a Noodle Shop, qui est le remake de Sang pour sang des frères Coen et qui devrait sortir prochainement.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Vivre, Epouses et Concubines, Hero, Le secret des poignars volants, La cité interdite

Réalisateur, écrivain, scénariste, producteur, producteur exécutif, coproducteur sud-coréen.
Né le 1 avril 1954 à Daegu, en Corée.
Ce cinéaste souvent considéré comme "tardif", vu qu'il n'est passer finalement derrière la caméra qu'à partir de 1996, est attiré pourtant dès son plus jeune âge par l'univers de l'art et du spectacle.
Commencant tout d'abord par une carrière en tant qu' écrivain dans les années 80, il se lance dans l'écriture avec son premier roman intitulé : Chonri (The Booty) publié en 1983. Les années qui suivent, il deviendra l'un des auteurs les plus reconnus dans son pays en poursuivant avec Burning Papers publié en 1987 et Nokcheon en 1992.
Un an plus tard, en 1993 Lee Chang-dong commence enfin à faire ses premiers pas en tant que scénariste pour le film : L'Ile étoilée, réalisée par Park Kwang-su, et deux ans après il continue a travaillé sur le scénario de A Single Park toujours du même réal.
Comme dit dans l'introduction c'est à partir de 1996 que Lee Chang-dong se place derrière la caméra, tout en écrivant également le scénario, pour la résalition de son premier long-métrage intitulé : Green Fish. Son premier essai sera un succès, et ce dernier sera présenté dans plusieurs festivals internationaux.
En 2000, cet écrivain maintenant devenu cinéaste, signe son second long métrage du nom de : Peppermint Candy, c'est avec ce film qui sera très remarqué à la Quinzaine des Réalisateurs, et qui recevra pas moins de trois prix à Karlovy Vary, que Lee Chang-dong accède réellement à la reconnaissance internationale.
Réalisé en 2002, son chef d'oeuvre : Oasis, confirme son talent de cinéaste, ce dernier fera près d'un million et demi d'entrées en Corée, et lui permetra d'emporter le Lion d'argent du meilleur réalisateur à Venise.
En 2007, Lee Chang-dong signe son quatrième long métrage s'intitulant : Secret Sunshine, qui vaut à l'actrice Jeon Do-Yeon le Prix d'interprétation féminine au 60e Festival de Cannes.
En 2009, il est le coproducteur de : Une vie toute neuve réalisé par Ounie Lecompte, et en 2010 il revient dans la course à la réalisation en signant son film : Poetry, qui sera récompensé par le Prix du Scénario à Cannes la même année.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Peppermint Candy, Oasis, Secret Sunshine

Réalisateur, scénariste, producteur, coréen.
Né le 22 mai 1959 en Corée du Sud.
Ce réalisateur coréen est surtout connu pour ses comédies romantiques devenues "culte" au yeux de ses fans..
Diplômé de L'université de Kyunghee, Kwak Jae-yong réalise son premiere long-métrage en 1989, intitulé : Watercolor Painting in a Rainy Day, ce dernier composé d'un très beau visuel et d'une jolie B.O, se fait remarquer assez rapidement. Il poursuit alors dans sa lancée et réalise son second film : Autumn Trip en 1991, et un second opus de son premier film du nom de : Watercolor Painting in a Rainy Day 2 sortit en 1993. Ces derniers maintiennent sa réputation auprès de son public coréen mais sans plus.
Après une longue période d'absence, Kwak Jae-yong revient dans le milieu du cinéma en 2001 avec une comédie dramatique intitulé : My Sassy Girl, ce film qui connait directement une énorme succès dans toute l'Asie, va véritablement faire connaître le talent du cinéaste au yeux de tous. Et devenir par la même occasion son film "culte" très apprécié de la part des ses fans. Ce long métrage lui permet d'ailleur de lui faire remporter plusieurs prix dont : le Prix de la meilleure actrice pour Jeon Ji-hyeon, le prix du meilleur scénario lors des Grand Bell Awards 2002, le Prix du film plus populaire au festival Fantasia 2003, le prix du meilleur film étranger lors des Hochi Film Awards 2003, le prix du meilleur film asiatique lors des Hong Kong Film Awards 2003, ainsi qu'une nomination pour le prix du meilleur film étranger lors des Awards of the Japanese Academy en 2004. A noter également que son film en vue de son succès fera également l'objet d'un remake américain du même nom, réalisé par Yann Samuell en 2008.
En 2003, Kwak Jae-yong remet le couvert et réalise une nouvelle comédie dramatique du nom de : Windstruck, ce dernier est à nouveau un énorme succès, et justifie une seconde fois le talent du réalisateur pour les films du genre.
En 2005, il s'occupe du scénario d'un film en trois dimensions intitulé : Ark, le dieu robot, ce dernier réalisé par Kenny Hwang et en 2006 il travaille de nouveau en tant que scénariste pour le film : Daisy d' Andrew Lau.
En 2008, Jae-young Kwak revient avec une comédie soupoudrée de romance du nom de : Cyborg Girl.
Quelques films culte du real que je vous conseille : My Sassy Girl, Windstruck

Réalisateur, scénariste japonais.
Né le 26 février 1929 1964 à Tōkyō, au Japon.
Décédé le 30 août 1992.
Un peu moins connu que son acolyte Akira Kurosawa, mais pourtant très doué pour le même genre d'univers que ce dernier c'est à dire : le chambara.
Hideo Gosha qui a fait des études de commerce à l'université Meiji, débute sa carrière à la télévision japonaise de l'époque. En 1952 il fait ses premiers pas à la NTB, et en 1959 il devient producteur pour la Fuji Tv, où il sera en charge des films et série dramatique.
En 1964, il signe une série pour la Fuji Tv du nom de : Les Trois Samouraïs, cette dernière devenant assez vite populaire, qu'Hideo Gosha se voit arrpocher par la production cinématographique "Shochiku" qui lui demande de réaliser une version de cetet série pour le grand écran. Gosha accepte et il réalise donc son premeir long métrage du nom de : Trois Samourais hors-la-loi, ce dernier bouleversant l'univers très codifié des films de sabre, en portant un regard moral et réaliste sur la condition peu enviable des samouraï sans maître, fera remarquer le cinéaste.
En 1966, il se tente au polar avec son film : Le Sang du danmé et en 1969, Hideo Gosha revient au devant de la scène en réalisant deux oeuvres, considérée par beaucoup comme les plus marquantes du cinéma japonais dans le genre chambara, intitulées : Goyokin et Hitokiri. Ces derniers vont véritablement laisser la signature du réalisateur au travers du temps.
Voulant une nouvelle fois s'essayer à d'autres genres cinématographiques, Gosha s'essaie au film de yakuza avec son logn métrage intitulé : Les Loups.
En 1978 et 1979, Hideo Gosha resigne deux oeuvres de chambara prouvant une nouvelle fois son talent : avec Bandit contre samouraïs et Les Tueurs des ténèbres.
En 1985, le cinéaste signera un drame social nommé : Protrait d'un criminel et en 1989 il réalise une fresque historique s'intitulant : 226.
Après une dernière oeuvre du nom de : Femme dans un enfer d'huile, qui sortira en 1992, Hideo Gosha décèdera un an plus tard.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Hitokiri, Goyokin, Bandit contre Samouraïs

Réalisateur, acteur, scénariste, producteur, taïwanais.
Né le 23 octobre 1954 à Pingtung, en Taïwan.
Connu pour son éclectisme et pour ses gros titres hollywoodiens, Ang Lee, après avoir tout d'abord étudié le théatre et le cinéma à l'Académie des arts de Tapei, s'installe en 1978 aux Etats-Unis, et y poursuit des études d'art dramatique à l'université l'Illinois. Il en ressort diplomé d'un cursus de production en cinéma à la faculté de New York, au sein de cette dernière il réalisera ses premiers courts et moyen métrage, dont : Fine Line comme projet de fin d'étude, et Dim Lake, qui sera distingué par le Golden Harvest taïwanais du meilleur film.
En 1992, Ang Lee réalise son premeir métrage du nom de : Tui Shou (Pushing Hands), ce dernier qui sera le premier volet d'une fausse trilogie baptisée : "Father knows best", sera présenté au Festival de Berlin et récompensé par le prix du meilleur film au Festival du film de l'Asie-Pacifique. L'année suivant, Ang Lee signe le second volet intitulé : Garçon d'honneur, ce dernier recevra l'Ous d'Or à Berlin et sera nommé à l'Oscar du Meilleur film étranger, et également au Golden Globe, et permetra au cinéaste d'accèder ainsi à la reconnaissance internationale.
En 1994, son film : Salé sucré qui recoit également plusieurs prix lors de festival, vient clore cette étude en trois temps de la société chinoise.
En 1995, Ang Lee se tourne vers l'Occident et réalise en Angleterre, son premier film à costumes : Raison et Sentiments, adaptation du roman de l'anglaise Jane Austen, son film remportera plusieurs récompense dont son second Ours d'or à Berlin.
Continuant sur la route des succès hollywoodiens, Ang Lee realise en 1997 son film : The Ice storm, et décide de revisiter le genre western avec : Chevauchée avec le diable produit en 1999.
En 2000, Ang Lee s'attaque au genre Wu Xia Pian et connait un grand succès internationnal avec son film : Tigre et Dragon, ce dernier lui vaut l'Oscar du Meilleur film étranger et le Golden Globe du Meilleur réalisateur, ainsi qu'une reconnaissance de la part de ses fans et de la part des critiques.
En 2003, le cinéaste s'essaie au genre superhéros, et réalise l'adaptation du comic du même nom, s'intitulant : Hulk.
En 2004, il change complétement de registe avec son film : Le Secret de Bokeback Mountain, saluée par la critique, son film lui permet de remporter un Lion d'or à Venise en 2005, et l'oscar du meilleur réalisateur l'année suivante.
En 2007, son film Lust, Caution lui permet d'emporté un second Lion d'or à la 64e Mostra de Venise, deux ans seulement après avoir gagné son premier trophée.
En 2009, Ang Lee surprend encore en signat une comédie intitulée : Hôtel Woodstock, qui revient sur le fameux Festival de Woodstock des années 1960.
Toujours en préparation le prochain film de Ang Lee à pour thème : l'Inde, ce dernier s'intitulera : Life of Pi, et est prévu pour 2012.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Tigre et Dragon, Lust Caution, Salé Sucré

Réalisateur, scénariste, coréen.
Né le 2 mai 1936 à Jangsung en Corée.
Ce réalisateur qui a près d'une centaine de films à son actif, passe une partie de son enfance dans la rue après la guerre de Corée, pour ensuite partir pour Séoul en 1956, où il commence à travailler dans une usine de recyclage de bottes de l'armée américaine. Cette dernière va se reconvertir dans l'industrie du cinéma et va ainsi permettre à Im Kwon-taek de debuter sa carrière dans le milieu cinématographique, en tant que coursier puis comme assistant de production. Gravitant rapidement les échelons , il travaille comme assistant réalisateur avant de devenir lui-même réalisateur. En 1962, Im Kwon-taek réalise son premier long-métrage intitulé : Adieu Fleuve Duman, et enchaîne ensuite plus d'une cinquantaine de films de série B jusqu'à la fin des années 1970.
Vers le milieu des années 70, il change de registre en proposant des films plus sérieux et plus personnels comme Mauvaises herbes en 1973, ou encore Chopko en 1978.
En 1981, son film : Mandala permet de le faire remarquer en dehors de l'Orient par la projection de ce dernier dans les festivales européens.
De plus en plus considéré comme l'un des plus grands réalisateurs coréens de l'époque, il amplifie son succès avec des films comme : La Chanteuse de pansori produit en 1993, ce dernier révèlant aux cinéphiles occidentaux véritablement le talent d'Im Kwon-taek, et Le Chant de la fidèle Chunhyang réalisé en 2000 et présenté au Festival de Cannes la même année.
Deux ans plus tard, Im Kwon-taek connaîtra la consécration avec son très beau film : Îvre de femmes et de peinture, ce dernier lui permetra de remporter le prix de la mise en scène au Festival de Cannes 2002, ainsi que le Prix du Meilleur film et le Prix du meilleur réalisateur lors des Blue Dragon Film Awards 2002.
En 2004, le réalisateur revient au style de ses débuts en s'attaquant une nouvelel fois au passé de son pays en proposant son film : La Pègre.
En 2007, Im Kwon-taek réalise un film intitulé : Souvenir, contant l'histoire d'un vieux maître du chant traditionnel coréen enseignant son art à sa fille et son beau-fils.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Îvre de femmes et de peinture, La chanteuse de pansori

Réalisateur, scénariste chinois.
Né en 1923 à Hangzhou en Chine et mort le 22 juin 2002 à Hong Kong.
Chang Cheh fut l'un des principaux réalisateurs du studio Shaw Brothers, la fameuse société de production créée dans les années 1920 à Shanghaï.
Ce grand réalisateur connu pour ces films d'arts martiaux sur base de wu xia pian et de kung-fu de Shaolin, accompagnés d'une marque de fabrique se caractérisant par un usage fréquent d'hémoglobine, d'une place réduite pour la gente féminine, et également par une amitié virile entre ses personnages. A noter que le cinéaste est nottament celui qui aida la carrière de Bruce Lee et de John Woo, ce dernier qui fut rappelons-le l'assistant de Chang Cheh.
Après un début comme critique cinéma, Chang commence sa carrière dans le milieu cinématographique en tant que scénariste, et c'est en 1949 qu'il tourne son premier film intitulé : Storm Over Ali-shan Mountain.
Quelques années passent et le cinéaste continue à faire son petit bout de chemin dans la Shaw Bothers Production.
C'est en 1967, avec son film : Un seul bras les tua tous, que Chang Cheh obtient son premier grand succès, ce long métrage premier film de l'histoire cinématographique hong-kongaise à engranger pas moins d'un million de dollar HK de recette, et place le cinéaste parmi les réalisateur du moment qui comptent.
En 1969, il poursuit dans la même catagorie d'histoire contant les récits d'un sabreur manchot avec son film : Le Bras de la vengeance, et également : La Rage du tige en 1971. Ces derniers imposeront réellement le style incontesté du réal par un wu xia pian devenant de plus en plus amitieux et découlant d'avantage sur la tradition littéraire du roman d'arts martiaux chinois.
En 1972, Chang Cheh accompagné de son jeune d'assistant d'époque le non moindre : John Woo, adapte un des quatre grands romans classiques de la littérature chinoise, Au bord de l'eau, avec son film intitulé : La Légende du lac et signe également la même année son fameux film : Le Justicier de Shanghaï.
En 1973, Cheh également accompagné de Woo, réalisera son film : Frères de Sang.
Les années qui suivent il tournera plusieurs films sur les moines dont : Monastère Shaolin : Les 5 maîtres de Shaolin et Shaolin Martial Arts en 1975, Les Disciples de Shaolin en 1975, et Le Temple de Shaolin en 1977.
En 1997, Chang Cheh reçoit un Life Achievement Award au Golden Bauhinia Awards pour l'ensemble de sa carrière.
Le 22 juin 2002, le réalisauer décède à Hong Kong.
En 2005, son film culte : La Rage du tigre ressort en salle pour la joie de ses plus grand fans dans un format remastérisé.
Quelques films culte du real que je vous conseille : La Rage du tigre, Un seul bras les tua tous, Frères de sang, Le Justicier de Shanghaï

Réalisateur, acteur, scénariste, hongkongais.
Né le 23 octobre 1963 à Hong Kong.
Souvent associé à sa collaboration avec l'acteur Donnie Yen, Wilson Yip passioné de cinéma depuis l'enfance à tendance à s'essayer à tout les genres.
En 1995, il fait ses premieres pas dans le milieu cinématographique en fesant ses débuts dans la réalisation d'un long métrage intitulé : 01:00 A.M., et réalise deux segment sur trois du film.
Peu de temps après, il prend en main la réalisation d'un film pour adulte inspirée d'une histoire vraie du nom de : Daze Raper. A partir de làs le jeune réalisateur décide de continuer dans la continuité de changement des genres en réalisant plusieurs films tels que : Mongkok Story (film sur les triades sorti en 1996), Midnight Zone (film d'horreur sorti en 1997), Teaching Sucks (comédie romantique sorti en 1997), et également Bio Zombie un film inspiré de l'univers de George Romero et qui sortira en 1998.
C'est en 1999, avec son long-métrage : Bullets Over Summer, que Wilson Yip commence enfin à se faire connaître du grand public, son film lui permet de remporter plusieurs prix dont le Prix du meilleur scénario lors des Hong Kong Film Critics Society Awards de 2000.
Il poursuit ensuite sa carrière de cinéaste, en réalisant un film d'action intitulé : Skyline Cruisers en 2000, un film de sciences-fiction intitulé : 2002 l'année suivante, une comédie intitulée : Dry Wood, Fierce Fire produit la même année. A noter également que son film : Juliet In Love recevra une nomination au prix du meilleur réalisateur lors des Hong Kong Film Awards de 2001.
En 2004 il enchaine une seconde comédie avec : Leaving Me, Loving You, et il réalisé également son premier film au genre Wu Xia Pian avec : The White Dragon.
A partir de l'année 2005, Wilson Yip débute une collaboration avec l'acteur Donnie Yen, ce qui donnera lieu plusieurs films d'action tels que le très bon: SPL , ou encore Dragon Tiger Gate (2006) et Flash Point (2007).
En 2008, le cinéaste continue à travailler avec Donnie Yen, mais cette fois pour un biopic sur la vie du fameux maître de Bruce Lee, s'intitulant : Ip Man, ce film lui apporte une réel reconnaissance au niveau du public, et sera considéré par beaucoup de fans comme étant le biopic d'art martiaux le plus réussi à l'heure actuelle.
En 2010, Wilson Yip réalise un second volet de son biopic d'art martiaux intitulé : Ip Man 2, et travaillerait actuellement sur un éventuel troisième volet, ainsi que sur une romance fantastique intitulée : Sien nui yau wan.
Quelques films culte du real que je vous conseille : SPL, Ip Man, Ip Man 2

Réalisateur, acteur, compositeur,scénariste chinois.
Né le 12 août 1952 à Pékin, en Chine.
Après avoir passé plusieurs années dans l'Armée populaire de libération chinoise, Chen Kaige rejoint en 1978 le département de réalisation à l'Université du cinéma de Pékin dont il en ressort diplômé en 1982. Il commence alors sa carrière cinématographique en travaillant comme réalisateur adjoint pour les Studios de Pékin, et réalise en 1984 son premier long-métrage insipré de sa propre expérience intitulé : Terre jaune, ce dernier lui permet de se faire connaitre nottament gràce à la puissance de ses imageset de sa narration, et le récompence aux festivals de Locarno et d'Hawaï.
En 1986, Chen Kaige poursuit sa route en réalisant deux autres film dont : La Grande parade sorti la même année, et : Le Roi des enfants produit en 1987, ce dernier fait découvrir le réalisateur en dehors de l'Asie grâce à sa selection au Festival de Cannes.
Ces premiers succès lui valent une bourse du Conseil culturel asiatique qui lui permet de partir étudier à la New York University Film School.
En 1991, le cinéaste signe son drame intitulé : La Vie sur un fil, et deux ans après Chen Kaige se révèle au monde entier avec son fameux film : Adieu ma concubine, qui recoit la Palme d'or au festival de Cannes 1993, et une nomination au César et à l'Oscar du Meilleur film étranger.
En 1996, il retraivaille à nouveau à la réalisation d'une drame historique avec les vedettes d'Adieu ma concubine pour son film : Temptress Moon.
En 1999, le réalisateur replonge dans l'histoire de son pays soupoudrée de legendes épiques en signant son long-métrage : Empereur et l'assassin.
En 2002, Chen Kaige s'attaque à son premier film en anglais, le thriller érotique : Feu de glace, mais ce dernier ne rencontre pas le succès critique et public escompté. La même année il co-réalisera avec Jim Jarmush et Aki Kaurismaki le film intitulé : Ten minutes older, ce dernier sera notamment présenté dans la section Un Certain Regard du 55e Festival de Cannes.
Chen Kaige enchaine alors avec son film : L'Enfant au violon qui sera primé au festival de San Sebastian, et puis il revient en 2004 au film à grand spectacle inspiré des légendes épiques chinoises avec Wu ji, la légende des cavaliers du vent.
Son dernier film : Mei Lanfang devrait sortir prochainement, ce biopic s'étant agréablement fait remaquer au festival de Berlin édition n°59.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Adieu ma concubine, Terre Jaune, Wu ji, la légende des cavaliers du vent

Réalisateur, compositeur,scénariste taïwanais.
Né le 6 novembre 1947 à Shanghaï, en Chine.
Décédé le 29 juin 2007 à Los Angeles.
Edward Yang est surtout connu pour ses films traitant principalement de l'environnement et des relations dans le Taïwan urbain. Cet amoureux de l'art et du cinéma qui confectionnait déjà ses ppropres mangas à l'âge de dix ans, passe sa jeunesse à Taipei, où il étudie dans un premier temps le génie éléctrique à Taïwan pour ensuite partir aux Etats-Unis, afin d'étudier à l"Universié de Floride et d'en ressortir diplômé en 1974. Cependant durant son séjour dans le sud de la Californie, il s'intéresse de plus en plus au monde cinématographique et décide alors de retourner à Taïwan afin de se consacrer à la réalisation. Yang fait alors ses débuts pour une chaine de tv locale et réalise l'écriture d'un scénario de téléfilm intitulé : The Winter of 1905.
En 1982, il réalise son premier court métrage du nom de : Attentes pour la collection In Our Time souvent considérée comme une oeuvre qui marque la naissance de la nouvelle vague taïwanaise.
En 1983, Edward Yang signe son premier long-métrage intitulé : Ce jour-là sur la plage, et poursuit en 1985 avec la réalisation de : Taipei Story où joue son ami le cinéaste Hou Hsiao-hsien. Ces deux films seront primés dans de nombreux festivals.
De plus en plus ancré dans son propre style, le cinéaste réalise en 1986, un thriller à la narration multiple sur la vie urbaine s'intitulant : Terroriste, qui recevra également un joli petit succès.
En 1991, Yang monte sa propre structure indépendante appelée "Yang and his gang", et il produit son quatrième film intitulé : Une belle journée d'été, film qui examine le développement d'une société taïwanaise bercée entre gangs d'adolescents et influence de la culture pop.
Le réalisateur poursuit ensuite en 1994 avec : Confusion chez Confucius , puis Mahjong en 1996 qui explore Taïwan à travers le regard de personnages étrangers.
C'est en 2000, avec son chef d'oeuvre qui est certainement à ce jour son film le plus connu intitulé : Yi Yi, que le cinéaste obtient une reconnaissance mondiale, ce dernier lui permet de recevoir plusieurs récompences dont le Prix de la mise en scène au festival de Cannes, le Prix de la critique et le Prix Léon Moussinac du meilleur film étranger, ainsi que le Chief Dan George Humanitarian Award au 19e festival de la Vancouver International Film.
En 2007, peu avant sa mort Edward Yang travaillait en collaboration avec Jackie Chan sur le dévellopement d'un film d'animation à gros budget intitulé : The Wind, ce dernier sera interromptu suite à la maladie du cinéaste. Edward Yang décède peu de temps lors de sa soixantième année à Beverly Hills.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Yi Yi,

Réalisateur, acteur chinois.
Né le 28 Novembre 1958 à Beijing, en Chine.
Ce réalisateur chinois marié à l'actrice Xu Fan, commence à travailler dans le milieu du cinéma en 1985 pour la télévision de Pékin. Peu à peu il se met à écrire des scénarios et vient à travailler avec le metteur en scène Zheng Xiaolong et le scénariste Wang Shuo.
En 1994, Feng réalise son premier long métrage intitulé : Perdu mon amour pour toujours (yǒng shī wǒ ài, Lost My Love).
En 1997, Xiaogang Feng accède à la notoriéte en dirigeant le film : Dream Factory, ce dernier connait un grand succès en Chine et posera un style particulier que l'on nomme le Hesui Pian.
Il poursuit son chemin en réalisant plusieurs films dont : Se disperser invisiblement (不见不散, bù jiàn bù sǎn, Be There or Be Square) en 1998, Sans fin (没完没了, méi wán méi liǎo, Sorry Baby) en 1999, Un cri de soupir (一声叹息, yīshēng tànxī, A Sigh) en 2000, Grand Poignet (大腕, dàwàn, Big Shot's Funeral) en 2001, Téléphone mobile (手机, shǒujī) en 2003, et : Un monde sans voleur (天下无贼, tiānxià wú zéi) en 2004. Cette même année, il passe également de l'autre coté de la cameré pour jouer un rôle d'acteur dans le film : Crazy Kung fu.
En 2006, Xiaogang Feng signe un long métrage original intitulé : La Légende du scorpion noir (Ye Yan, The Banquet), film qui n'est d'uatre qu'une adaptation du fameux : Hamlet de William Shakespeare, le tout situé dans la Chine du Xe siècle, en version Kung fu.
En 2007, le cinaste réalise un film de guerre du nom de : Héros de guerre (集结号, jíjié hào, Assembly), film relatant un passage de la guerre civile chinoise, plutôt bon qui recoit le Prix Action Asia au 10e festival du cinéma asiatique de Deauville, ainsi que pas moins de sept nominations et le prix meilleur acteur pour Zhang Hanyu au Golden Horse Film.
En 2008, Feng revient avec une comédie romantique intitulée : If You Are The One ou La Perle Rare (非誠勿擾, feicheng wu rao), film moderne démontrant un visage innatendu de la Chine.
C'est en 2010, que son film intitulé : Aftershock, produit avec la réalisatrice Jingchu Zhang, que le cinéaste prouve son talent mondial, son long métrage consacré au tremblement de terre de Tangshan en 1976, a battu les records d'entrées en 2010 et a rapporté pas moins de 100 millions de dollars de recettes.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Héros de guerre(Assembly), Afteshock

Réalisateur, acteur, scénariste, auteur japonais
Né le 3 juillet 1930 à Mito, au Japon.
Décédé le 12 janvier 2003 au Japon.
Connu pour ses thèmes de prédilection tels que l'après-guerre et la transformation de la société japonaise. Très jeune Kinji Fukasaku est confronté à la violence en travaillant en tant qu'employé dans une fabrique d'armes pendant la seconde guerre mondiale.
Violence qui d'ailleur sera souvent un sujet majeur revenant dans la plupart de ces films. En 1953, il en tant qu'assistant réalisateur dans l'important studio Toei et débute ainsi sa carrière dans le monde cu cinéma. En 1963, Kinji signe sa première réalisation avec une série intitulée : Dective Vagabond.
De plus en plus investi dans son rôle de cinéaste, Kinji Fukasaku apporte un nouveau souffle au cinéma nipon en repopularisant à l'époque les films de Yakuza. Parmis ses premières réussite, on peut citer son premier long-métrage : Gangsters en plein jour sorti en 1961, Hommes, porcs et loups produit en 1964, et le Caïd de Yokohama en 1969.
En 1970, il remplace le célèbre Akira Kurosawa pour tourner les scènes de combat aérien du film américain : Tora! Tora! Tora!.
Par la suite, Kinji Fukasaku transformera l'image classique du gangster souvent guidé par l'honneur en celle du gangster mené par l'appât du gain avec des films très violents tels que : Guerre des gangs à Okinawa en 1971, Le Cimetière de la morale en 1975, et Combat sans code d'honneur en 1973, ce dernier achèvera réellement de déconstruire tous les mythes du genre, et contribuera véritablement au tremplin de sa carrière vu le succès que connaitra ce long métrage, donnant lieu à quatre suites du film.
Durant les vingt années qui suivent, Fukasaku change totalement de direction, en se spécialisant progressivement dans la science-fiction et les films de samuraïs, tels que en autre : Le Samuraï et le Shogun produit en 1978, et Les Evadés de l'espace réalisé la même année.
En 1982, il réalise son film : Kamata koshin-kyoku qui lui vaut en 1983 le prix du meilleur réalisateur au Mainichi Film Concours ainsi qu'au Kinema Junpo Awards. La même année le cinéaste signe également son film : Le Theâtre de la vie, ce dernier étant co-réalisé avec Sadao Nakajima et Junya Sato.
En 1989, Kinji Fukasaku laisse la réalisation de son film : Violent Cop au réalisateur Takeshi Kitano, ce dernier remanie le scénario en créant son personnage de antihéros solitaire.
En 2000, le cinéaste revient au premier plan et réalise une satire violente de la société japonaise intitulée : Battle Royale, ce dernier connaît un important succès au Japon et en Occident, et restera gravé comme l'une des oeuvres les plus marquantes de la part de ses fans.
Trois ans plus tard, Fukasaku commence le tournage d'une suite intitulée : Battle Royale II : Requiem, mais suite à un cancer il se voit obligé de lever le pied et préfère abandonner le projet à son fils nommé : Kenta Fukasaku.
Peu de temps après ce dernier projet, et sans avoir eu l'occasion de le voir terminé, Kinji Fukasaku décède suite à son cancer, le 12 janvier 2003.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Guerre des Gangs à Okinawa, Battle Royale

Réalisateur, scénariste bhoutanais.
Né en1961 à Shanghaï, au Bhoutan.
Ce bouddhiste tibétain associé au monastère de Dzongsar, est une personnalité religieuse assez importante, reconnue comme étant la 3ème réincarnation de Jamyang Khyentse Wangpo, ce dernier est considéré comme étant l'un des plus grands maîtres du bouddhisme tibétain.
Après avoir étudié à la SOAS (School of Oriental and African Studies) située à Londres, Khyentse Norbu fait ses premiers pas dans le milieu cinématographique en travailant en 1993 comme conseiller technique pour le film : Little Buddha, réalisé par Bernado Bertolucci. A noter qu'il y joue également un petit rôle dans ce film.
C'est en 1999, que Khyentse Norbu décide de se lancer réellement dans un début de carrière cinématographique, et ce dernier réalise son premier long métrage intitulé : La Coupe, film qui raconte l'histoire deux jeunes Tibétains ayant fui leur pays pour trouver refuge dans un monastère bouddhiste au nord de l'Inde, et qui tentent cependant de suivre la Coupe du monde de football 1998 à la télévision. Ce film est une très bonne surprise et permet de faire connaître le cinéaste de manière internationale.
En 2003, Norbu revient sur grand écran avec son film : Voyageurs Et Magiciens, film racontant l'hiostoire d'un jeune Bhoutanais qui rêve de quitter son petit village situé dans les montagnes, afin de partir vivre aux Etats-Unis. Ce long métrage permet une nouvelle fois de faire connaitre le réalisateur et lui permet de remporter plusieurs distinctions en 2004telles que : le Prix du Public au Festival du Film Asiatique de Deauville, le prix du Meilleur Réalisateur à l'Asian American International Film Festival, le prix du meilleur film étranger au São Paulo International Film Festival, et également une nomination au festival de Toronto et de Venise.
Par la suite, le cinéaste apparaîtra également dans plusieurs petits documentaires, et en 2002, il participera au film : Zandkastelen réalisé par Alexander Oey. Khyentse Norbu fera également une participation en 2006 dans le film de John Halpern, intitulé : Refuge.
Quelques films culte du real que je vous conseille : La Coupe, Voyageurs et magiciens

Réalisateur, acteur, producteur, producteur exécutif, scénariste hongkongais.
Né en 1954 à Hong-Kong, en Chine.
Connu pour ne jamais faire de happy end, Ringo Lam est surtout célèbre pour ses polars ultra violent et ses films d'action aux ambiances de thrillers.
Agé de 18 ans, ll débute dans le monde du cinéma en tant que scénariste et assistant réalisateur pour une chaine de télévision locale : la TVB. Après plusieurs films mineurs dont son premier jet s'intitulant : Esprit d'amour produit en 84, il débute réellement en 1986 la série des "On Fire" avec tout d'abord Prison on fire mettant en scène les acteurs Chow Yun-Fat et Tony Leung Chiu Wai, et ensuite City on Fire dirigeant une nouvelle fois Chow Yun-fat ainsi que Danny Lee. Ces opus ont la particularité de faire connaître le style du réalisateur à son nouveau public, et lui permet également de recevoir le prix de meilleur réalisateur aux Hong Kong Film Award. A noter que le fameux film Reservoir Dogs de Quentin Tarantino a beaucoup été inspiré par City on fire.
En 1993, Ringo Lam tourne Full Contact avec Chow Yun-fat, Simon Yam et Anthony Wong, qui reste assez culte dans l'histoire du cinéma de Hong Kong, et il signe également son premier film à costumes la même année s'intitulant : Le Temple du Lotus Rouge.
Par la suite, Lam tentera sa chance aux Etats-Unis et réalise notamment un film intitulé : Risque Maximum produit en 1996 en collaboration avec l'acteur Jean-Claude Van Damme, mais ce dernier n'obtiendra pas le succès escompté de la part du réalisateur.
Ringo Lam revient alors à Hong Kong , et signe en 1997 son film : Full Alert, ce long métrage remporte un assez bon succès public et sera souvent considéra comme étant l'un de ses meilleurs films de la part de ses fans, et en 1999 Lam réalise : The Victim, ce dernier confirmant le réalisateur comme étant une valeur sûre du cinéma de Hongkongais.
Les années qui suivent, le cinéaste collabore de nouveau avec Jean-Claude Van damme, et réalise trois film intitulés : Risque maximum en 1996, Replicant en 2001 et In Hell en 2003. Egalement en 2003, restant malgré tout un spécialiste du polar, Ringo Lam osera signer une comédie assez original du nom de : Finding Mr.Perfect.
En 2008, le cinéaste en collaboration avec les réalisateurs Johnnie To et Tsui Hark, réalise la deuxième partie du film intitulé : Triangle.
Quelques films culte du real que je vous conseille : City On Fire, Full Contact, Full Alert

Nom : Hou Hsiao-hsien (侯孝賢 Hóu Xiàoxián )
Réalisateur, acteur, scénariste taïwanais.
Né le 8 avril 1947 à Meixian, en Chine.
Considéré comme un véritable cinéaste chinois moderne, et réalisant des films qui sont souvent récompensés dans les compétitions les plus prestigieuses. Ce cinéaste avec son style particulier fait de très longs plan-séquences, a la réputation de n'effectuer généralement qu'une seule prise des séquences qu'il tourne, et de ne pas procèder à des répétitions avec ses acteurs. Sorti tout juste de son service militaire, Hou Hsiao-hsien alors âgé de 23 ans entreprend des études de cinéma à l'académie nationale d'art de Taiwan. Ce dernier en ressort diplômé et débute alors sa carrière cinématographique comme assistant-scénariste et assistant-réalisateur.
En 1980, Hou réalise son premier film intitulé : Cute Girl, cette comédie considée néanmoins comme étant une oeuvre mineure du réalisateur, remporte à l'époque un assez bon succès en salle.
En 1984, son film : Garçons de Fengkuei marque un nouveau départ dans la carrière du cinéaste, permettant ainsi de le faire connaître en dehors de la Chine et de lui faire emporter la Montgolfière d'or au Festival des 3 Continents.
S'imposant de plus en plus comme le chef de file d'une nouvelle vague taïwanaise, Hou Hsiao-hsien décroche en 1985 le Prix de la critique internationale à Berlin pour son film intitulé : Un temps pour vivre : un temps pour mourir, puis le Lion d'or à Venise en 1989 pour son film : La Cite des douleurs, ce dernier ouvrant une fausse trilogie consacrée à l'histoire de Taïwan et fesant remporté au réal un Lion d’or à la Mostra de Venise.
En 1993, Hou poursuit donc avec son film : Le Maître de marionnettes qui relate l'histoire du célèbre marionnettiste taïwanais Li Tian-lu, à qui l'on a demandé de jouer pour la propagande nippone pendant l'occupation japonaise de Taïwan au cours de la Seconde Guerre mondiale.
En 1995, le cinéaste cloture donc sa trilogie factice avec son long métrage s'intitulant : Good Men, Good Women, et la même année il produit également le fameux Epouses et Concubines réalisé par Zhang Yimou.
En 1998, Hou Hsiao Hsien fait le portrait des courtisanes du XIXe siècle en signant son film : Les Fleurs de Shanghaï.
Avec son film intitulé : Millénnium Mambo réalisé en 2001, Hou Hsien révèle l'actrice Shu Qi au public occidental, ce dernier démontrant un Taïwan moderne et étant très apprécie de la part de ses fans, sera en compétition au festival de Cannes la même année.
En 2003, Hou réalise un film-hommage au réalisateur japonais Yasujirō Ozu en réalisant son film intitulé : Café lumière.
En 2005 avec son film : Three times, le cinéaste nous conte trois histoires d'amour, situées à trois époques différentes. Ce long métrage recevra de brillantes critiques et permetra de faire la sixième venue au Festival de Cannes de la part du réalisateur.
En 2007, Hou Hsiao-hsien s'inspire du moyen métrage sorti en 1956 d'Albert Lamorisse intitulé : Le Ballon rouge, pour signer une comédie française dramatique du nom de : Le Voyage du ballon rouge.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Millénnium Mambo, Café Lumière, Three Times

Réalisateur, compositeur, scénariste, dialoguiste, monteur japonais
Né en 1964 à Kitakyūshū, au Japon.
Considéré comme étant un réalisateur clef de la nouvelle vague de Rikkyō, et comme étant un auteur complet du fait qu'il lui arrive régulièrement de signer à la fois la mise en scène, le scénario et la musique de ses propres films, Aoyama Shinji tombe amoureux du cinéma après le visionnage du célèbre : Apoccalypse Now de Coppola. Poursuivant ses cours de critiques de cinema auprès du célébre Shigehiko Hasumi, Shinji débute dans le milieu cinématographique en réalisant plusieurs court métrages filmés en 8mm. Tout en poursuivant dans le monde de la critique et en se trouvant un petit post pour le Cahiers du cinéma-Japon, Shinji devient également assistant-perchman puis assistant-réalisateur pour Kiyoshi Kurosawa.
C'est en 1995, que Shinji réalise son premeir long métrage intitulé : It's not in the textbook, ce dernier sort uniquement en vidéo, mais un an après Aoyama signe un second film destiné au grand écran s'intitulant : Helpless. Ces derniers commence à faire parler de lui et sont considéré comme étant assez violent.
En 2000, son film : Eureka va véritablement faire connaître le talent de Shinji Aoyama de manière internationale. Ce film considéré comme étant son grand chef d'oeuvre, sera présenté au Festival de Cannes de l'année 2000 et recevra le Prix de la Critique internationale et du Jury oecuménique.
En 2001, le cinéaste revient en compétition officielle avec son drame intitulé : Desert Moon, ce dernier sera nomminé deux fois au Festival de Cannes edition n° 54.
En 2002, Aoyama Shinji travaille en tant que dialoguiste sur le film Demon lover réalisé par Olivier Assayas, et la même année Shinji enchaine également un travail pour la télévision japonaise en signant le premier épisode d'une série nippone du nom de : La Forêt sans nom, ce dernier sort dans les salles en 2003 dans une version retravaillé spécialement pour le grand écran.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Eureka, Desert Moon

Réalisateur, scénariste, adaptateur, producteur sud-coréen.
Né le 27 mai 1964 à Séoul, en Corée du Sud.
Attiré très jeune par le monde du théatre, Kim Jee-Woon débute sa carrière en en montant sur les planches et s'investisant dans la mise en scène de plusieurs pièces théâtrales. Il change ensuite de registre pour se lancer dans l'écriture et remporte un concours gràce à son scénario intitulé : Wonderfull seasons. Prenant goût à son nouveau milieu, Kim Jee-Woon décide de se lancer en 1998 dans la réalisation de son premier film intitulé : The Quiet Family, ce dernier ayant la particularité d'être une comédie sur thème horrifique.
Deux ans plus tard, ce nouveau cinéaste réalise une seconde comédie s'intitulant : Foul King, puis il se lance dans la réalisation de plusieurs court-métrage qui bout à bout forme le triptyque nommé : 3 histoires de l'au delà.
En 2003, Kim Jee-Woon s'attaque à la réalisation d'un film fantastique horrifique avec son long métrage : 2 Soeurs, ce dernier recevra un bon acceuil de la part du public, et sera presque considéré comme un film "culte du genre" de la part de ses nombreux fans.
En 2005, le réalisateur tourne un polar sombre et ultra violent du nom de : A Bittersweet Life, ce dernier prouve réellement le talent de la part du cinéaste, et lui permet de se placer à coté dans les grands noms du cinéma coréen actuel, et lui fait gagner un "Lotus Action Asia" au Festival du Film Asiatique de Deauville en 2006 (édition n°8).
Trois années plus tard, Kim Jee-Woon change totalement de registrese et se lance dans la réalisation d'un western/comédie avec son fim : Le Bon, la brute et le cinglé, mais le film ne décollera pas des masses, ces fans s'étant plutôt habitués à l'ambiance sombre de ces précédentes oeuvres.
En 2011, le réalisateur revient et frappe très fort avec son fameux long métrage racontant la traque sordide d'un serial killer intitulé : J'ai rencontré le Diable, et mettant en scène l'acteur Choi Min Sik.
Ce film confirme une nouvelle fois le talent du cinéaste et sera nominé pour le Grand Prix du Long Metrage à la première édition du Festival Hallucinations Collectives 2011, ce dernier recevra également 3 nominations (Golden Shell du meilleur film, Silver Shell du meilleur réalisateur, Prix Spécial du Jury) au Festival de San Sebastian edition n° 58.
Quelques films culte du real que je vous conseille : 2 Soeurs, A bittersweet life, J'ai rencontré le Diable

Nom : Andrew Lau (劉偉強 Andrew Lau Wai-keung )
Réalisateur, producteur, producteur délégué et exécutif, directeur de la photographie hong-kongais.
Né le 4 avril 1960 à Hong Kong.
Notamment connu pour sa trilogie culte nommée : Infernal Affairs, Andrew Lau également appelé Wai-keung Lau développe très tôt un intérêt pour le monde l'art et de la photographie. Ce dernier débute sa carrière en rejoignant le studio Shaw Brother en tant qu'assistant de production pour Lau Kar-Leung, et travaille sur le film de ce dernier intitulé : Legendary Weapons of China sorti en 1982.
Il poursuit son petit bout de chemin en travaillant comme directeur de la photographie notamment pour des films d'arts martaiux mettant en scène Sammo Hung comme en autre le film : Express millionnaire.
En 1987, toujours en tant que chef de la photographie Andrew Lau travaillera à coté de Ringo Lam pour le fameux : City on Fire, où il se fait remarqué par son talent pour l'utilisation de l'éclairage et sa patte photographique haute en couleur.
Continuant toujorus dans le même domaine, Lau travaille en 1988 sur le premier film de Wong Kar-wai intitulé : As Tear Go By, son travail lui permet de recevoir sa première nomination à la Hong Kong Film Award pour la meilleure cinématographie.
C'est en 1990, que Wai-keung fait ses début en tant que réalisateur sur son premier long métrage s'intitulant : Contre tous.
Continuant à faire son travail de photographie et de réalisateur sur différents films, Lau revient en 1996 avec son film : Young and Dangerous, ce dernier un film centré sur les Triads au sien de la société de Hong Kong Triad, ce dernier crée une véritable polémique sur la manière dont le réalisateur à glorifier les triades au sein de son long métrage, mais à coté de cela le film remporte un énorme succès dans son pays d'origine et donnera même lieu à plusieurs suites les années qui suivront.
Durant le succès de cette série de film, Lau s'est vu approcher par Manfred Wong et le producteur Wong Jin, ensemble les trois cinéastes créent la société de production nommée : Bob et Partenaires Co. Ltd et donnent lieu a des films tels que : Storm Riders en 1998, The Legend of Speed en 1999, et Le Duel produit en 2000.
En 2002, Andrew fait peau neuve en créant sa propre société de production du nom de : Photos de Base avec laquelle il réalise le fameux : Infernal Affairs la même année, ce long métrage considéré réllement comme l'oeuvre culte du cinéaste, est dès sa sortie un énorme succès au box office à Hong Kong, dans une période pourtant où l'on reprochait le manque de créativité du cinéma hongkongais. Ce film connaîtra également un succès international et recevra plusieurs récompenses dont : le Prix du meilleur réalisateur lors des Golden Bauhinia Awards, des Golden Horse Film Festival, et Hong Kong Film Awards de 2003, ainsi que le Prix du meilleur film étranger lors des Blue Ribbon Awards de 2004. A noter aussi que le film donnera lieu à deux second opus intitulés : Infernal Affairs 2 sorti en 2002 et Infernal Affairs 3 sorti en 2003, tout deux co-réalisés avec Alan Mak, ainsi qu'un remake U.S signé de la main de Martin Scorsese se nommant : Les Infiltrés.
En 2006, Lau continue sa collaboration avec Mak pour un film intitulé : Confessions of Pain, et en 2007 il co-réalise un fim américain du nom de : The Flock avec le réalisateur Niels Mueller.
Produit en 2009, Andrew Lau revient avec son film : Look for a Star, mettant en scène les acteurs : Shu Qi, Andy Lau, et Rebecca Pan.
En 2010, le cinéaste signe un long-métrage s'intitulant : Legend of the Fist : The Return of Chen Zhen, ce dernier étant est la continuation de la série télévisée hongkongaise de 1955 intitulée : Fist of Fury., qui mettait en scène le célèbre acteur Donnie Yen.
Dernièrement, Andrew Lau signe en 2011 une romance intitulée : Beautiful Life, ce dernier interprété par des acteurs tels que : Shu Qi , Liu Ye , Tian Liang , Feng Danying, Sa Rina, Zhang Songwen et Gao Tian avec en autre une apparition spéciale d'Anthony Wong.
Quelques films culte du real que je vous conseille : Infernal Affairs (particulièrement le 1 mais la trilogie se laisse regarder sans problème)
Ce genre de liste sur les réalisateurs asiatiques étant d'une part souvent très longue, et d'une autre part en continuelle expansion, il est fort probable, voir logique que j'ai omis de citer certains noms.
Par contre à défaut de les représenter tous sous forme de petite fiches comme ci dessus, on peut citer également d'autres grands noms ou titres du cinéma asiatique tels que :
* Woo-Ping Yuen (né en 1945 à Canton) : particulièrement connu pour son excellent travail de chorégraphe sur les films d'art martiaux, on peut citer de grand films du cinéaste comme sa trilogie intitulée : Tiger Cage (qui fera connaître l'acteur Donnie Yen), Drunken Master en 1978, Iron Monkey en 1993, et Tai-Chi Master réalisé en 2003
* Alan Mak Siu-Fai (né le 1er janvier 1968) : ce réalisateur H.K est connu notamment pour son association avec Andrew Law pour des films comme : Confession of Pain ou Infernal Affairs.
* Derek Yee (né le 28 décembre 1957) : réalisateur hongkongais connu pour des films tels que : Shinjuku Incident - Guerre de gangs à Tokyo, 2 Young, ou Une Nuit à Mongkok.
* Jang Cheol-soo (né le 1er janvier 1974) : réalisateur coréen connu pour son premier excellent film : Bedevilled réalisé en 2009.
* Ryu Seung-wan (né le 15 décembre 1973) : connu pour ses participations en tant qu'acteur dans des films cultes tels que : Lady Vengeance, Sympathy For.M.Vengeance, Oasis et également connu en tant que réalisteur pour ces long métrage comme : Crying Fist et The Unjust.
* Daniel Lee (né en 1960 ) : connu pour ses films HK comme notamment : Les trois royaumes : la résurection du dragon de 2008, et 14 Blades réalisé en 2010.
* Shinji Iwai (né le 24 janvier 1963 à Sendai, au Japon) : connu pour son film PicNic réalisé en 1996.
* Kwak Kyung-taek (né le 23 mai 1966) : on connait ce réalisateur pour ses films sud coréen comme : Champion, Typhoon et le très bon : Friend sorti en 2001.
* Yoichi Sai (né le 6 juillet 1949 à Nagano) : plus particulièrement connu pour son excellent film Blood & Bones sorti en 2004 et mettant en scène Kitano dans le rôle principal.
* Kazushi Watanabe (né le 16 septembre 1976) : ce jeune réalisateur débute en tant qu'acteur dans le film culte de Takeshi Miike intitulé : Visitor Q, et 2003 il signera son premier film du nom de : 19.
* Ataru Oikawa (né en 1957 au Japon) : nottament connu pour son film sanglant : Tokyo Psycho.
* Dante Lam (né le 1er juillet 1964) : ce hongkongais s'est notamment fait remarquer en 2010 avec son long métrage s'intitulé : The Stool Pigeon (The insider).
* Pang Ho-cheung (né le 22 septembre 1973) : connu pour son film Dream Home et également pour son travail en tant que scénariste sur le film culte : Fulltime Killer.
* Terra Shin : on le connait surtout pour son fameux film : Black House.
* Yang Yun-ho (né le 11 novembre 1966) : particulièrement connu pour son film : Fighter in the wind.
* Woo-Suk Kang (né le 10 novembre 1960 à Gyeongsan) : connu pour son long métrage: Public Ennemy ainsi que pour le second et troisièeme volet. Le cinéaste s'est également fait remarquer dernièrement avec son bon film : Moss sorti en 2010.
* Jin-ho Hur (né le 8 août 1963 à Jeonju) : ce réalisateur sud-coréen est notamment connu pour son film : April Snow sorti en 2006 et son excellent Happiness sorti en 2007.
* Park Yong-Hoon (né en 1964 en Corée du Sud) : il est spécialement connu pour son film : Addicted.
* Ten Shimoyama (né le 6 mars 1966) : ce réalisateur s'est fait remarqué avec son film : Shinobi sorti en salle en 2007.
* Lo Wei (né en 1918, décèdé en 1996) : connu pour avoir donner sa chance à l'acteur Jackie Chan dans son film : La Nouvelle Fureur de vaincre. D'autres films cultes du réalisateur sont assez connus comme par exemple : The Big Boss, considéré comme étant le premier film majeur de Bruce Lee.
* Fruit Chan (né le 30 avril 1959 à Canton en Chine) : notamment connu pour sa participation auprès de Park Chan-wook et de Takashi Miike pour le film : 3 Extrèmes. Le cinéaste est également connu pour son long métrage initulé : La Nouvelle Cuisine réalisé en 2005.
* Takashi Ishii (né le 11 juillet 1946 à Sendai, Japon) : réalisateur nippon connu entre autres pour son long métrage s'intitulant : Gonin réalisé en 1995.
* Shinya Tsukamoto (né le 1er janvier 1960 à Tokyo) : il est surtout connu pour son univers particulier où les frustrations et les répressions accumulées de la vie urbaine s'échappent violemment, comme par exemple dans ses oeuvres telles que : Bullet Ballet,Snake of June ou encore Tetsuo.
* Ryuhei Kitamura (né le 30 mai 1969) : cinéaste japonais connu en particulier pour son film Azumi produit en 2003.
* Kenji Misumi (né le 2 mars 1921, décèdé le 24 spetembre 1975) : réalisateur japonais assez connu pour ses films tels que entre autres la saga des : Baby Cart.
* Ishii Katsuhito (né en 1966 à Niigata au Japon) : spécialement connu pour son excellent film : The Taste of tea.
* Benny Chan ( né le 7 octobre 1979) : également appelé Muk-Sing Chan, ce réalisateur travaillant souvent avec l'acteur Jackie Chan est connu pour ses films : Big Bullet, New police story, et dernièrement avec son film: Shaolin (The New Shaolin Temple) produit en 2010.
* Toshiya Fujita (né en 1932, décèdé en 1997) : ce cinéaste japonais est notamment connu pour des films culte de sabre nippon comme par exemple son long métrage : Lady Snowblood réalisé en 1973.